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| Le Heinkel 162 : un "chasseur du peuple" conçu dans l'urgence mais dangereux... pour ses pilotes |
... même s’ils n’auront donc pas été inutiles, ce ne sont cependant pas les bombardements massifs opérés sur les usines et les villes allemandes qui vont finalement provoquer l’arrêt de la production d’armements et la chute du régime nazi, mais bien... la progression à présent inexorable des fantassins occidentaux et soviétiques dans les pays occupés d’abord, jusqu’au coeur-même du Troisième Reich ensuite, puis, évidemment, et au bout du compte, jusqu’à Berlin.
Car après la réussite, à l’Ouest, des Débarquements de Normandie et de Provence (1) et, à l’Est, celle de l’Opération Bagration, lancée par les Soviétiques le 22 juin, rien, et pas même les "armes-miracles", ne peut plus sauver l’Allemagne nazie de l’anéantissement !
Sur Terre comme dans les Airs, les soldats et pilotes allemands continuent certes de combattre, et, au pays, les civils allemands de soutenir Adolf Hitler qui, paradoxalement, est même sorti renforcé de l’Attentat raté du 20 juillet (2), lequel lui a en effet permis de "faire le ménage" et de se débarrasser, cette fois définitivement, de toute forme d’opposition à son régime.
A l’automne, tandis que dans le Ciel, les quadrimoteurs britanniques et américains poursuivent leurs pilonnages comme si de rien n’était, la dégradation progressive des conditions météorologiques, les problèmes de ravitaillement dus à l’étirement des lignes de communication autant chez les Anglo-Américains que chez les Soviétiques, l’échec, à l’Ouest, de l’Opération Market Garden (3) et l’épuisement, à l’Est, des soldats de l’Armée rouge après Bagration, vont même offrir au Führer, et à la Wehrmacht, un répit de quelques semaines, qui leur permettra de lancer une nouvelle, et cette fois ultime, offensive à l’Ouest, et plus précisément dans le secteur des Ardennes (3), une offensive qui, après quelques succès initiaux, se soldera cependant à nouveau par une défaite, laquelle ne fera en définitive que précipiter l’effondrement total d’un Troisième Reich qui, au début de 1945, vivra désormais ces derniers instants...
(1) sur le Débarquement de Provence : Saviez-vous que... L’Enclume et le Dragon
(2) Saviez-vous que... Walkyrie
(3) Saviez-vous que... Nuts
Car après la réussite, à l’Ouest, des Débarquements de Normandie et de Provence (1) et, à l’Est, celle de l’Opération Bagration, lancée par les Soviétiques le 22 juin, rien, et pas même les "armes-miracles", ne peut plus sauver l’Allemagne nazie de l’anéantissement !
Sur Terre comme dans les Airs, les soldats et pilotes allemands continuent certes de combattre, et, au pays, les civils allemands de soutenir Adolf Hitler qui, paradoxalement, est même sorti renforcé de l’Attentat raté du 20 juillet (2), lequel lui a en effet permis de "faire le ménage" et de se débarrasser, cette fois définitivement, de toute forme d’opposition à son régime.
A l’automne, tandis que dans le Ciel, les quadrimoteurs britanniques et américains poursuivent leurs pilonnages comme si de rien n’était, la dégradation progressive des conditions météorologiques, les problèmes de ravitaillement dus à l’étirement des lignes de communication autant chez les Anglo-Américains que chez les Soviétiques, l’échec, à l’Ouest, de l’Opération Market Garden (3) et l’épuisement, à l’Est, des soldats de l’Armée rouge après Bagration, vont même offrir au Führer, et à la Wehrmacht, un répit de quelques semaines, qui leur permettra de lancer une nouvelle, et cette fois ultime, offensive à l’Ouest, et plus précisément dans le secteur des Ardennes (3), une offensive qui, après quelques succès initiaux, se soldera cependant à nouveau par une défaite, laquelle ne fera en définitive que précipiter l’effondrement total d’un Troisième Reich qui, au début de 1945, vivra désormais ces derniers instants...
(1) sur le Débarquement de Provence : Saviez-vous que... L’Enclume et le Dragon
(2) Saviez-vous que... Walkyrie
(3) Saviez-vous que... Nuts
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