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| Civils français, contemplant un bulldozer à l’œuvre dans les ruines de Caen |
... largement employés lors de la 1ère GM, et universelle hantise durant tout l’entre-deux-guerres, les gaz constituent une arme terrifiante mais très difficile à mettre en œuvre, et qui peut même facilement se retourner contre ses utilisateurs.
Si chaque belligérant de la 2ème GM en possède des stocks importants, chacun d'entre-eux sait néanmoins qu’aussitôt qu’il y aura recours contre l’adversaire, ce dernier s’empressera d’en faire de même à son tour, ce pourquoi personne n'en utilisera jamais de toute la guerre !
Pourtant, en Normandie, les gaz seraient peut-être une solution contre les forces allemandes retranchées dans Caen, ville que Montgomery, avec son optimisme légendaire, s’était promis de conquérir dans les heures suivant le Débarquement
Mais les jours puis les semaines passent sans que fantassins et tanks britanniques soient en mesure de s’en emparer.
Face à ses échecs répétés, qui prennent petit à petit les allures d'affronts personnels, Montgomery, à l'instar du général Freyberg devant Monte Cassino (1), pense alors être en mesure de réduire la résistance allemande en ordonnant un bombardement aérien massif sur les faubourgs nord de la ville, prélude à une offensive terrestre - l’Opération Charnwood - qui visera cette fois à pénétrer au cœur-même de Caen, et non plus à la contourner.
Dès la soirée du 7 juillet, les appareils du Bomber Command passe alors à l’action : du 07 au 09, plus de 2 500 tonnes de bombes - soit l’équivalant de...2 500 fusées V1 (!) s'abattent alors sur la malheureuse cité...
Si chaque belligérant de la 2ème GM en possède des stocks importants, chacun d'entre-eux sait néanmoins qu’aussitôt qu’il y aura recours contre l’adversaire, ce dernier s’empressera d’en faire de même à son tour, ce pourquoi personne n'en utilisera jamais de toute la guerre !
Pourtant, en Normandie, les gaz seraient peut-être une solution contre les forces allemandes retranchées dans Caen, ville que Montgomery, avec son optimisme légendaire, s’était promis de conquérir dans les heures suivant le Débarquement
Mais les jours puis les semaines passent sans que fantassins et tanks britanniques soient en mesure de s’en emparer.
Face à ses échecs répétés, qui prennent petit à petit les allures d'affronts personnels, Montgomery, à l'instar du général Freyberg devant Monte Cassino (1), pense alors être en mesure de réduire la résistance allemande en ordonnant un bombardement aérien massif sur les faubourgs nord de la ville, prélude à une offensive terrestre - l’Opération Charnwood - qui visera cette fois à pénétrer au cœur-même de Caen, et non plus à la contourner.
Dès la soirée du 7 juillet, les appareils du Bomber Command passe alors à l’action : du 07 au 09, plus de 2 500 tonnes de bombes - soit l’équivalant de...2 500 fusées V1 (!) s'abattent alors sur la malheureuse cité...
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