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| Le Fw-190 : plus moderne mais jamais disponible en assez grand nombre... |
... 13h10
A 13h10, malgré l’entrée en action de la Flak, les premières bombes s’abattent sur la capitale du Reich.
En théorie, les cibles visées sont des cibles purement militaires - fabriques de roulements à billes, ateliers de montage ou de réparation de véhicules, ou encore usines d’avions - mais en pratique, avec le couvert nuageux et l’intensité de la DCA, et dans l’excitation bien compréhensible du moment, les bombes s’abattent généralement fort loin de l’objectif, au grand dam des civils qui n’ont pas eu le temps ou la possibilité de se rendre jusqu’à un abri,... ou de ceux qui, après être sortis de l’abri, découvriront leur bien ordinaire logement réduit en poussières, et ne parviendront pas à comprendre pourquoi celui-ci a bien pu être pris pour cible.
Pour éviter de se retrouver canonnés par la DCA qui, dans toutes les armées du monde, tire sans discrimination sur tous les avions qu’elle aperçoit, les chasseurs allemands, mais aussi américains, ont quant à eux préféré se tenir loin de la capitale, attendant les uns et les autres le moment où les bombardiers, leurs soutes vides et leur mission accomplie, reprendront le chemin de la Grande-Bretagne.
La DCA allemande donne tout ce qu’elle peut, mais s’ils endommagent souvent les bombardiers américains à des degrés divers, les milliers d’obus tirés en à peine quelques minutes n’envoient malgré tout que cinq appareils américains au tapis.
A 14h10, dans tout Berlin, les sirènes de fin d’alerte retentissent : les ultimes B-17 et B-24 ont en effet vidé les lieux, certains sur trois ou même deux moteurs seulement, ou traînant d’inquiétants panaches de fumée qui augurent mal de leur retour en Angleterre, distante de quelque 800 km, dont plus de 600 en plein territoire ennemi, où les attendent déjà d’autres chasseurs, bien décidés à leur faire payer ce raid de jour sur la capitale et l’orgueil du Troisième Reich...
A 13h10, malgré l’entrée en action de la Flak, les premières bombes s’abattent sur la capitale du Reich.
En théorie, les cibles visées sont des cibles purement militaires - fabriques de roulements à billes, ateliers de montage ou de réparation de véhicules, ou encore usines d’avions - mais en pratique, avec le couvert nuageux et l’intensité de la DCA, et dans l’excitation bien compréhensible du moment, les bombes s’abattent généralement fort loin de l’objectif, au grand dam des civils qui n’ont pas eu le temps ou la possibilité de se rendre jusqu’à un abri,... ou de ceux qui, après être sortis de l’abri, découvriront leur bien ordinaire logement réduit en poussières, et ne parviendront pas à comprendre pourquoi celui-ci a bien pu être pris pour cible.
Pour éviter de se retrouver canonnés par la DCA qui, dans toutes les armées du monde, tire sans discrimination sur tous les avions qu’elle aperçoit, les chasseurs allemands, mais aussi américains, ont quant à eux préféré se tenir loin de la capitale, attendant les uns et les autres le moment où les bombardiers, leurs soutes vides et leur mission accomplie, reprendront le chemin de la Grande-Bretagne.
La DCA allemande donne tout ce qu’elle peut, mais s’ils endommagent souvent les bombardiers américains à des degrés divers, les milliers d’obus tirés en à peine quelques minutes n’envoient malgré tout que cinq appareils américains au tapis.
A 14h10, dans tout Berlin, les sirènes de fin d’alerte retentissent : les ultimes B-17 et B-24 ont en effet vidé les lieux, certains sur trois ou même deux moteurs seulement, ou traînant d’inquiétants panaches de fumée qui augurent mal de leur retour en Angleterre, distante de quelque 800 km, dont plus de 600 en plein territoire ennemi, où les attendent déjà d’autres chasseurs, bien décidés à leur faire payer ce raid de jour sur la capitale et l’orgueil du Troisième Reich...
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