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| L'Incendie : le moyen le plus économique de détruire une ville... |
... pour détruire des villes comme Guernica, Rotterdam, Coventry, et des quartiers entiers de Londres, la bombe incendiaire s’est en effet vite avérée une arme bien plus efficace et plus économique que la simple bombe explosive, car contrairement à la bombe conventionnelle dont les effets disparaissent aussitôt après son éclatement, le feu peut quant à lui s'auto-entretenir, et donc se propager pendant des heures, voire des jours entiers.
Et le feu, mais aussi ses compagnons d’aventure - la chaleur et la fumée - peuvent en outre s'insinuer et tuer dans les caves, les bunkers, les grottes, les tunnels, tous les endroits enterrés et généralement inaccessibles aux bombes conventionnelles et dans lesquels la population s'est réfugiée par habitude,... et dans lesquels elle va à présent rôtir ou périr d'asphyxie.
Et c’est particulièrement vrai pour les caves ordinaires des maisons, qui n'ont jamais été conçues pour résister aux bombes d'avions ni - a fortiori - à l'incendie généré par les bombes d'avions.
Protégés du souffle et des éclats par les parois de leur cave, les occupants ne se rendent pas compte qu'il doivent néanmoins la quitter à plus ou moins bref délai,... sous peine de voir ces mêmes parois se transformer en four mortel sous l'effet des incendies qui, dehors, génèrent des températures pouvant dépasser les mille degrés.
Les gaz qui pénètrent dans les abris, et la lente raréfaction de l'oxygène, sont autant d'autres pièges qui peuvent tuent des milliers de personnes, lesquelles ne se rendront souvent compte de rien, ou n’auront pas eu la force et le courage nécessaires pour quitter à temps cet abri par trop rassurant...
Et le feu, mais aussi ses compagnons d’aventure - la chaleur et la fumée - peuvent en outre s'insinuer et tuer dans les caves, les bunkers, les grottes, les tunnels, tous les endroits enterrés et généralement inaccessibles aux bombes conventionnelles et dans lesquels la population s'est réfugiée par habitude,... et dans lesquels elle va à présent rôtir ou périr d'asphyxie.
Et c’est particulièrement vrai pour les caves ordinaires des maisons, qui n'ont jamais été conçues pour résister aux bombes d'avions ni - a fortiori - à l'incendie généré par les bombes d'avions.
Protégés du souffle et des éclats par les parois de leur cave, les occupants ne se rendent pas compte qu'il doivent néanmoins la quitter à plus ou moins bref délai,... sous peine de voir ces mêmes parois se transformer en four mortel sous l'effet des incendies qui, dehors, génèrent des températures pouvant dépasser les mille degrés.
Les gaz qui pénètrent dans les abris, et la lente raréfaction de l'oxygène, sont autant d'autres pièges qui peuvent tuent des milliers de personnes, lesquelles ne se rendront souvent compte de rien, ou n’auront pas eu la force et le courage nécessaires pour quitter à temps cet abri par trop rassurant...
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