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| Lendemain de bombardement sur Londres : ce bus n'ira pas plus loin... |
... en soi, Londres constitue indubitablement un objectif militaire.
Outre un port important et de nombreuses industries, elle abrite en effet le siège-même du Pouvoir, avec le Palais Royal, le Parlement, mais aussi tous les différents ministères et administrations qui, directement ou indirectement, œuvrent pour l’effort de guerre britannique.
Mais s’en prendre à présent à cette ville constitue ni plus ni moins un acte de pure vengeance, une vengeance que réclament cependant à corps et à cris les civils berlinois qui, après avoir été si "injustement" pris pour cibles par des bombes anglaises exigent tout naturellement de voir des bombes allemandes s’abattre maintenant, et cette fois fort justement, sur les civils londoniens... sans réaliser que, ce faisant, ils mettent eux-mêmes en branle la machine infernale des vergeltungen, des représailles et contre-représailles qui va partout semer la mort pendant cinq ans et, au bout du compte, détruire la quasi-totalité des villes allemandes !
Dans l’immédiat du moins, ce énième changement de stratégie a une conséquence aussi importante que malheureusement inévitable, puisque les bombardiers appelés - et en nombre sans cesse croissant ! - à pilonner la capitale, mais aussi de nombreuses villes britanniques, ne pourront évidemment plus s’en prendre aux terrains d’aviation qui hébergent les appareils de la Royal Air Force, ni aux usines qui fabriquent les dits appareils !
Et comme ce pilonnage se déroulera très majoritairement de nuit, les pilotes de Hurricane et de Spitfire, qui multiplient les missions et volent jusqu’à cinq heures par jour et sept jours sur sept, et qui sont à présent au bord de l’effondrement, pourront quant à eux goûter un repos bien mérité, leurs appareils ne pouvant en effet opérer dans l’obscurité !
C’est la troisième cause de l’échec à venir...
Outre un port important et de nombreuses industries, elle abrite en effet le siège-même du Pouvoir, avec le Palais Royal, le Parlement, mais aussi tous les différents ministères et administrations qui, directement ou indirectement, œuvrent pour l’effort de guerre britannique.
Mais s’en prendre à présent à cette ville constitue ni plus ni moins un acte de pure vengeance, une vengeance que réclament cependant à corps et à cris les civils berlinois qui, après avoir été si "injustement" pris pour cibles par des bombes anglaises exigent tout naturellement de voir des bombes allemandes s’abattre maintenant, et cette fois fort justement, sur les civils londoniens... sans réaliser que, ce faisant, ils mettent eux-mêmes en branle la machine infernale des vergeltungen, des représailles et contre-représailles qui va partout semer la mort pendant cinq ans et, au bout du compte, détruire la quasi-totalité des villes allemandes !
Dans l’immédiat du moins, ce énième changement de stratégie a une conséquence aussi importante que malheureusement inévitable, puisque les bombardiers appelés - et en nombre sans cesse croissant ! - à pilonner la capitale, mais aussi de nombreuses villes britanniques, ne pourront évidemment plus s’en prendre aux terrains d’aviation qui hébergent les appareils de la Royal Air Force, ni aux usines qui fabriquent les dits appareils !
Et comme ce pilonnage se déroulera très majoritairement de nuit, les pilotes de Hurricane et de Spitfire, qui multiplient les missions et volent jusqu’à cinq heures par jour et sept jours sur sept, et qui sont à présent au bord de l’effondrement, pourront quant à eux goûter un repos bien mérité, leurs appareils ne pouvant en effet opérer dans l’obscurité !
C’est la troisième cause de l’échec à venir...
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