... Loch Ewe, 17 janvier 1943
Et de fait, le convoi suivant, JW52, qui appareille d'Écosse le 17 janvier, n'est repéré que le 23, et ne rencontre qu'une opposition dérisoire.
Le 24, quatre Heinkel 115 du KG406 mènent une vaine attaque à la torpille, au cours de laquelle ils perdent eux-mêmes la moitié de leur effectif (!), tandis que les U-boot, constamment tenus à bonne distance par les bâtiments du "Fighting Destroyer Escort group", entretemps devenu "Ocean Escort", ou "Escorte océanique", sont incapables de mener la moindre attaque.
Trois jours plus tard, 27 janvier, les treize cargos du JW52 arrivent donc intacts en URSS, sans néanmoins susciter la fureur d'Hitler qui, avec Stalingrad, a il est vrai bien d'autres soucis en tête.
Deux jours plus tard, alors que le Führer est sur le point d'élever le général Paulus au rang de Generalfeldmarschall dans le secret espoir qu'il se suicide ensuite plutôt que de se rendre, le convoi retour, RA52, neuf cargos, appareille vers la Grande-Bretagne.
Bien que rapidement repéré, le RA52 échappe pendant plusieurs jours à toutes les attaques lancées contre jusqu'à ce que, le 03 février, l'U-255 parvienne enfin à torpiller et à couler l'américain Greylock.
Mais ce succès, au demeurant fort modeste - tous les autres bâtiments rallieront sans encombre l'Écosse le 08 février - passe évidemment totalement inaperçu au regard de l'évènement qui, vingt-quatre heures auparavant, a bouleversé toute l'Allemagne, lorsqu'on a appris que le tout nouveau Generalfeldmarschall Paulus avait capitulé à Stalingrad avec tous les survivants (1) de la 6ème Armée désormais prisonnière des Soviets...
(1) sur les 91 000 soldats allemands capturés, seuls 6 000 reverront l'Allemagne, les derniers en 1954
Et de fait, le convoi suivant, JW52, qui appareille d'Écosse le 17 janvier, n'est repéré que le 23, et ne rencontre qu'une opposition dérisoire.
Le 24, quatre Heinkel 115 du KG406 mènent une vaine attaque à la torpille, au cours de laquelle ils perdent eux-mêmes la moitié de leur effectif (!), tandis que les U-boot, constamment tenus à bonne distance par les bâtiments du "Fighting Destroyer Escort group", entretemps devenu "Ocean Escort", ou "Escorte océanique", sont incapables de mener la moindre attaque.
Trois jours plus tard, 27 janvier, les treize cargos du JW52 arrivent donc intacts en URSS, sans néanmoins susciter la fureur d'Hitler qui, avec Stalingrad, a il est vrai bien d'autres soucis en tête.
Deux jours plus tard, alors que le Führer est sur le point d'élever le général Paulus au rang de Generalfeldmarschall dans le secret espoir qu'il se suicide ensuite plutôt que de se rendre, le convoi retour, RA52, neuf cargos, appareille vers la Grande-Bretagne.
Bien que rapidement repéré, le RA52 échappe pendant plusieurs jours à toutes les attaques lancées contre jusqu'à ce que, le 03 février, l'U-255 parvienne enfin à torpiller et à couler l'américain Greylock.
Mais ce succès, au demeurant fort modeste - tous les autres bâtiments rallieront sans encombre l'Écosse le 08 février - passe évidemment totalement inaperçu au regard de l'évènement qui, vingt-quatre heures auparavant, a bouleversé toute l'Allemagne, lorsqu'on a appris que le tout nouveau Generalfeldmarschall Paulus avait capitulé à Stalingrad avec tous les survivants (1) de la 6ème Armée désormais prisonnière des Soviets...
(1) sur les 91 000 soldats allemands capturés, seuls 6 000 reverront l'Allemagne, les derniers en 1954

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