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| Le convoi : énormément d'efforts et de vigilance,... très peu ou pas du tout de gloire... |
... mais Raeder parti, Hitler quelque peu calmé,... et les derniers grands navires de surface renvoyés dans leur fjord avec interdiction d'en sortir à nouveau (!), le problème demeure : que faire pour empêcher l'arrivée d'un nouveau convoi arctique ?
En ce début de 1943, alors qu'à Stalingrad, la 6ème Armée, totalement encerclée, vit ses derniers instants, le Reich n'a tout simplement plus les moyens de ses ambitions !
Victimes d'une constante attrition depuis des mois, les sous-marins et bombardiers-torpilleurs qui avaient fait merveille contre le PQ17 ne sont plus que l'ombre d'eux-mêmes et ont de surcroît vu leurs maigres effectifs régulièrement amputés par l'obligation d'envoyer des renforts sur d'autres Fronts jugés plus essentiels.
Et l'hiver, qui est à présent à son paroxysme, n'arrange pas les choses !
Pour les équipages des cargos, la traversée en plein hiver est certes la plus éprouvante au niveau physique, et aussi celle qui offre le moins de chance de survie si l'on se retrouve naufragés,... mais c'est en revanche celle qui vous protège le mieux des regards et des attaques de l'ennemi !
Car comment repérer un convoi quand les rares appareils de reconnaissance dont on dispose encore sont de toute manière cloués au sol à cause du mauvais temps, les rares sous-marins ballotés par une mer déchaînée, et quand ni les uns ni les autres ne voient quoi que ce soit dans la nuit arctique ?
Et à supposer-même qu'on parvienne à repérer le convoi puis à lancer une attaque contre lui, comment croire encore à un éventuel succès lorsque celle-ci est non seulement systématiquement repoussée par l'escorte des convois,... mais génère également une nouvelle attrition qui rend encore moins probable et moins efficace une nouvelle attaque ?
En ce début de 1943, alors qu'à Stalingrad, la 6ème Armée, totalement encerclée, vit ses derniers instants, le Reich n'a tout simplement plus les moyens de ses ambitions !
Victimes d'une constante attrition depuis des mois, les sous-marins et bombardiers-torpilleurs qui avaient fait merveille contre le PQ17 ne sont plus que l'ombre d'eux-mêmes et ont de surcroît vu leurs maigres effectifs régulièrement amputés par l'obligation d'envoyer des renforts sur d'autres Fronts jugés plus essentiels.
Et l'hiver, qui est à présent à son paroxysme, n'arrange pas les choses !
Pour les équipages des cargos, la traversée en plein hiver est certes la plus éprouvante au niveau physique, et aussi celle qui offre le moins de chance de survie si l'on se retrouve naufragés,... mais c'est en revanche celle qui vous protège le mieux des regards et des attaques de l'ennemi !
Car comment repérer un convoi quand les rares appareils de reconnaissance dont on dispose encore sont de toute manière cloués au sol à cause du mauvais temps, les rares sous-marins ballotés par une mer déchaînée, et quand ni les uns ni les autres ne voient quoi que ce soit dans la nuit arctique ?
Et à supposer-même qu'on parvienne à repérer le convoi puis à lancer une attaque contre lui, comment croire encore à un éventuel succès lorsque celle-ci est non seulement systématiquement repoussée par l'escorte des convois,... mais génère également une nouvelle attrition qui rend encore moins probable et moins efficace une nouvelle attaque ?

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