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| Le Hipper, en action |
... le Hipper ouvre immédiatement le feu sur le Bramble, lequel s'empresse de répliquer, mais que peut faire un dragueur de mines de 900 tonnes équipé de deux ridicules canons de 105mm contre un croiseur lourd de 18 000 tonnes doté de huit pièces de 203mm ?
En quelques salves, le malheureux Bramble est donc transformé en amas de ferraille, que le Hipper délaisse aussitôt pour le confier au destroyer Z-16 Friedrich Eckoldt, lequel l'expédie bientôt par le fond avec tout son équipage de quelque 120 marins et officiers.
Il n'y a aucun survivant.
Inconnu des Britanniques, qui l'ont simplement porté disparu, le sort exact du Bramble ne sera connu qu'après la fin de la guerre et l'ouverture des archives militaires allemandes mais, aujourd'hui encore, l'histoire des dernières heures de ce petit dragueur de mines demeure un mystère : qu'avait-il fait et pourquoi n'avait-t-il donné aucun signe de vie durant près de 48 heures ?
Et pourquoi s'était-il finalement retrouvé là, c-à-d au mauvais endroit et au pire moment possible...
A quelques dizaines de km du drame, peu avant 11h00, les vigies de la corvette Rhododendron aperçoivent pour leur part de la fumée, et bientôt un grand bâtiment de surface, venant du sud-ouest.
Un grand bâtiment que d'aucuns prendraient bien pour le terrifiant Tirpitz mais qui n'est en fait "que" le Panzerschiff Lützow de 12 000 tonnes, néanmoins doté de six pièces de 280mm contre lequel le Rhododendron, avec ses 900 tonnes et son seul et ridicule canon de 100mm, n'est évidemment pas de taille à lutter, ce pourquoi il se contente d'inonder l'éther de messages d'alerte destinés aux destroyers qui, plus loin au nord,... sont eux-même occupés à batailler et à barrer la route à un possible retour du Hipper !
En quelques salves, le malheureux Bramble est donc transformé en amas de ferraille, que le Hipper délaisse aussitôt pour le confier au destroyer Z-16 Friedrich Eckoldt, lequel l'expédie bientôt par le fond avec tout son équipage de quelque 120 marins et officiers.
Il n'y a aucun survivant.
Inconnu des Britanniques, qui l'ont simplement porté disparu, le sort exact du Bramble ne sera connu qu'après la fin de la guerre et l'ouverture des archives militaires allemandes mais, aujourd'hui encore, l'histoire des dernières heures de ce petit dragueur de mines demeure un mystère : qu'avait-il fait et pourquoi n'avait-t-il donné aucun signe de vie durant près de 48 heures ?
Et pourquoi s'était-il finalement retrouvé là, c-à-d au mauvais endroit et au pire moment possible...
A quelques dizaines de km du drame, peu avant 11h00, les vigies de la corvette Rhododendron aperçoivent pour leur part de la fumée, et bientôt un grand bâtiment de surface, venant du sud-ouest.
Un grand bâtiment que d'aucuns prendraient bien pour le terrifiant Tirpitz mais qui n'est en fait "que" le Panzerschiff Lützow de 12 000 tonnes, néanmoins doté de six pièces de 280mm contre lequel le Rhododendron, avec ses 900 tonnes et son seul et ridicule canon de 100mm, n'est évidemment pas de taille à lutter, ce pourquoi il se contente d'inonder l'éther de messages d'alerte destinés aux destroyers qui, plus loin au nord,... sont eux-même occupés à batailler et à barrer la route à un possible retour du Hipper !
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