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| Sur le pont de l'Avenger, des marins contemplent l"explosion du cargo Mary Luckenbach |
... et dans cette affaire, le porte-avions Avenger, dont chacun attendait monts et merveilles mais qui, depuis le début de la traversée, n'a cessé de cumuler déboires et problèmes techniques, s'est une fois de plus avéré rien moins que brillant.
Attaqué par quatre Sea Hurricane du porte-avions, un seul et malheureux Heinkel 115 isolé est même parvenu non seulement à s'en sortir sans dommage,... mais aussi à abattre l'un de ses assaillants !
Si le potentiel est là, il est encore, et à l'évidence, fort mal exploité.
Heureusement, la journée du 14 septembre s'avère relativement tranquille... sauf pour l'équipage du tanker Athel Templar, mis en flammes par le U-457 et qu'un autre sous-marin allemand achèvera le lendemain.
Le 15 septembre, toutes les attaques aériennes allemandes sont en revanche brillamment déjouées. Encore deux jours, et l'arrivée des destroyers soviétiques Gremyashchy et Sokrushitelny permet aux équipages de croire qu'ils sont maintenant tirés d'affaire.
Grave erreur car, à l'aube du 18 septembre, la Luftwaffe ressort à nouveau son Peigne doré, néanmoins réduit à une douzaine d'appareils, lesquels n'en parviennent pas moins à toucher, et à couler, l'américain Kentucky
Le 21, les navires survivants atteignent finalement Arkhangelsk au terme d'une traversée où ils ont perdu treize des leurs...
Attaqué par quatre Sea Hurricane du porte-avions, un seul et malheureux Heinkel 115 isolé est même parvenu non seulement à s'en sortir sans dommage,... mais aussi à abattre l'un de ses assaillants !
Si le potentiel est là, il est encore, et à l'évidence, fort mal exploité.
Heureusement, la journée du 14 septembre s'avère relativement tranquille... sauf pour l'équipage du tanker Athel Templar, mis en flammes par le U-457 et qu'un autre sous-marin allemand achèvera le lendemain.
Le 15 septembre, toutes les attaques aériennes allemandes sont en revanche brillamment déjouées. Encore deux jours, et l'arrivée des destroyers soviétiques Gremyashchy et Sokrushitelny permet aux équipages de croire qu'ils sont maintenant tirés d'affaire.
Grave erreur car, à l'aube du 18 septembre, la Luftwaffe ressort à nouveau son Peigne doré, néanmoins réduit à une douzaine d'appareils, lesquels n'en parviennent pas moins à toucher, et à couler, l'américain Kentucky
Le 21, les navires survivants atteignent finalement Arkhangelsk au terme d'une traversée où ils ont perdu treize des leurs...
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