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| Le cargo El Capitan, construit en 1917, et lui aussi victime du PQ17 |
... 800 km au nord d'Arkhangelsk, 09 juillet 1942, 22h00
Le convoi repéré par le U-457 est le plus proche du but, et aussi le plus important des deux puisque composé du panaméen El Capitan et de l'américain Hoosier, flanqués des deux étranges "croiseurs antiaériens" Palomares et Pozarica, des corvettes Poppy, Lotus et La Malouine, du chalutier armé Lord Austin et du navire de sauvetage Zamalek.
En compagnie des autres escorteurs rescapés du Détroit de Matoshkin, l'américain Samuel Chase et le britannique Ocean Freedom forment quant à eux le second convoi, lequel, à l'insu des Allemands, traîne quelque 70 km en arrière et n'a en vérité que fort peu d'espoir de parvenir à rejoindre le premier, ce qui, pour une fois, va s'avérer salutaire puisqu'à 22h00, rameutée par Schmundt, la Luftwaffe fait décoller tous ses bombardiers disponibles !
Rien n'est plus tragique que d'échouer alors qu'on se croit déjà arrivé au but : parlez-en donc aux marins des Hoosier et El Capitan qui voient soudain surgir des dizaines et des dizaines de bombardiers Junkers 88 !
Pendant près de quatre heures (!), les bimoteurs à croix gammée se relayent, insensibles au déluge de feu que les escorteurs tentent de leur opposer - un des croiseurs antiaériens tirera, à lui seul, la bagatelle de 1 200 obus... sans aucun résultat.
Brûlant d'un bord à l'autre, et abandonnés par leur équipage, les deux malheureux cargos ne sont plus que des morts en sursis, que les sous-marins de Schmundt vont bientôt achever...
Le convoi repéré par le U-457 est le plus proche du but, et aussi le plus important des deux puisque composé du panaméen El Capitan et de l'américain Hoosier, flanqués des deux étranges "croiseurs antiaériens" Palomares et Pozarica, des corvettes Poppy, Lotus et La Malouine, du chalutier armé Lord Austin et du navire de sauvetage Zamalek.
En compagnie des autres escorteurs rescapés du Détroit de Matoshkin, l'américain Samuel Chase et le britannique Ocean Freedom forment quant à eux le second convoi, lequel, à l'insu des Allemands, traîne quelque 70 km en arrière et n'a en vérité que fort peu d'espoir de parvenir à rejoindre le premier, ce qui, pour une fois, va s'avérer salutaire puisqu'à 22h00, rameutée par Schmundt, la Luftwaffe fait décoller tous ses bombardiers disponibles !
Rien n'est plus tragique que d'échouer alors qu'on se croit déjà arrivé au but : parlez-en donc aux marins des Hoosier et El Capitan qui voient soudain surgir des dizaines et des dizaines de bombardiers Junkers 88 !
Pendant près de quatre heures (!), les bimoteurs à croix gammée se relayent, insensibles au déluge de feu que les escorteurs tentent de leur opposer - un des croiseurs antiaériens tirera, à lui seul, la bagatelle de 1 200 obus... sans aucun résultat.
Brûlant d'un bord à l'autre, et abandonnés par leur équipage, les deux malheureux cargos ne sont plus que des morts en sursis, que les sous-marins de Schmundt vont bientôt achever...
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