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| Le Tirpitz, tel qu'ancré dans le Faettenfjord de Trondheim |
... Kiel, 14 janvier 1942
Le 14 janvier, le Tirpitz a donc quitté Kiel pour rejoindre Trondheim où, tapis dans un fjord avoisinant, il n’a désormais plus qu’à attendre le passage du prochain convoi allié.
Mais si sa traversée a échappé à l’attention des Britanniques, ces derniers ont bien l'intention de le retrouver,... et de se rappeler à son bon souvenir en lui envoyant quelques bombardiers.
Conscient de la chose, l’équipage du Tirpitz s’est donc empressé, dès son arrivée dans le Faettenfjord, de l’ancrer au pied d’une falaise qui le protège de toute attaque menée de ce côté, puis de le recouvrir de filets de camouflage ainsi que de branchages arrachés à tous les arbres environnants.
La menace aérienne est cependant si forte qu’au fil des semaines, des dizaines de pièces de DCA, et même des générateurs de fumée destinés à produire un brouillard artificiel, vont également être expédiés en Norvège afin de mieux protéger et dissimuler le grand cuirassé aux regards des aviateurs anglais.
La meilleure protection de ce dernier réside cependant dans son éloignement des terrains d’Aviation britanniques,... ainsi que dans la météo fort peu clémente qui sévit généralement le long des côtes de Norvège.
De fait, fin janvier, une première attaque menée par plusieurs dizaines de bombardiers quadrimoteurs a dû être annulée en raison des exécrables conditions de visibilité qui règnent au-dessus de la cible.
Pour les aviateurs britanniques, ce raid avorté n'est hélas que le début d'une interminable série d'échecs et de frustrations...
Le 14 janvier, le Tirpitz a donc quitté Kiel pour rejoindre Trondheim où, tapis dans un fjord avoisinant, il n’a désormais plus qu’à attendre le passage du prochain convoi allié.
Mais si sa traversée a échappé à l’attention des Britanniques, ces derniers ont bien l'intention de le retrouver,... et de se rappeler à son bon souvenir en lui envoyant quelques bombardiers.
Conscient de la chose, l’équipage du Tirpitz s’est donc empressé, dès son arrivée dans le Faettenfjord, de l’ancrer au pied d’une falaise qui le protège de toute attaque menée de ce côté, puis de le recouvrir de filets de camouflage ainsi que de branchages arrachés à tous les arbres environnants.
La menace aérienne est cependant si forte qu’au fil des semaines, des dizaines de pièces de DCA, et même des générateurs de fumée destinés à produire un brouillard artificiel, vont également être expédiés en Norvège afin de mieux protéger et dissimuler le grand cuirassé aux regards des aviateurs anglais.
La meilleure protection de ce dernier réside cependant dans son éloignement des terrains d’Aviation britanniques,... ainsi que dans la météo fort peu clémente qui sévit généralement le long des côtes de Norvège.
De fait, fin janvier, une première attaque menée par plusieurs dizaines de bombardiers quadrimoteurs a dû être annulée en raison des exécrables conditions de visibilité qui règnent au-dessus de la cible.
Pour les aviateurs britanniques, ce raid avorté n'est hélas que le début d'une interminable série d'échecs et de frustrations...
1 commentaire:
Pas franchement une base navale organisée, ce Fjord Norvégien...
Même avec les soins constants de l'équipage, la discipline allemande et les eaux froides qui limitent la poussée des algues sur la coque, un navire complexe comme un cuirassé n'est pas dans un environnement idéal pour rester à 100% de son potentiel...contrairement aux sous-marins basés à Lorient, Brest ou Bordeaux...qui eux ont la chance d'être protégés par de gigantesques"garages" bétonnés à l'épreuve des bombes
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