![]() |
| Le croiseur Minneapolis, photographié en avril 1943... avec sa nouvelle étrave |
... au large de Tassafaronga, 30 novembre 1942, 23h14
Le 30 novembre, progressant en ligne, les huit destroyers de Tanaka, le Takanami en tête, aperçoivent l'île de Savo sur le coup de 21h40.
Encore une heure et, naviguant désormais à vitesse réduite, les voilà parvenus au large de Tassafaronga et bientôt prêts à larguer les innombrables bidons de ravitaillement qui encombrent leurs ponts
Dans le même temps, progressant en sens inverse, le destroyer Fletcher en tête, les navires de Wright ne sont plus qu'à une cinquantaine de km, mais, premier couac d'une longue et finalement fatale série, les hydravions sur lesquels ce dernier comptait pour repérer et illuminer les navires japonais n'ont pu être mis en œuvre.
A 23H06, les radaristes américains commencent à percevoir quelques échos de navires évoluant à une vingtaine de km d'eux. Encore huit minutes et, à 23h14, ceux du Fletcher établissent un contact ferme avec un destroyer japonais - en l’occurrence le Takanami - qui en précède quatre autres.
Mais, deuxième couac, ceux du Maury, qui ne dispose pas d'un équipement radar aussi performant que ses trois camarades, sont incapables de détecter quoi que ce soit, ce qui, dans quelques minutes, va empêcher le destroyer américain de lancer ses torpilles
Ensuite, troisième couac, parce qu'ils doivent larguer leurs bidons en deux points différents de la côte, les destroyers nippons viennent tout juste de se séparer en deux groupes, et le second groupe de trois bâtiments, mené par le Naganami, navire-amiral de Tanaka, n'a pas été détecté par les Américains !
Une minute plus tard, la distance entre le Fletcher et le Takanami est tombée à moins de 7 000 mètres, ce qui autorise le commandant du premier cité à réclamer à Wright, sur le croiseur Minneapolis, l'autorisation de lancer ses torpilles...
Le 30 novembre, progressant en ligne, les huit destroyers de Tanaka, le Takanami en tête, aperçoivent l'île de Savo sur le coup de 21h40.
Encore une heure et, naviguant désormais à vitesse réduite, les voilà parvenus au large de Tassafaronga et bientôt prêts à larguer les innombrables bidons de ravitaillement qui encombrent leurs ponts
Dans le même temps, progressant en sens inverse, le destroyer Fletcher en tête, les navires de Wright ne sont plus qu'à une cinquantaine de km, mais, premier couac d'une longue et finalement fatale série, les hydravions sur lesquels ce dernier comptait pour repérer et illuminer les navires japonais n'ont pu être mis en œuvre.
A 23H06, les radaristes américains commencent à percevoir quelques échos de navires évoluant à une vingtaine de km d'eux. Encore huit minutes et, à 23h14, ceux du Fletcher établissent un contact ferme avec un destroyer japonais - en l’occurrence le Takanami - qui en précède quatre autres.
Mais, deuxième couac, ceux du Maury, qui ne dispose pas d'un équipement radar aussi performant que ses trois camarades, sont incapables de détecter quoi que ce soit, ce qui, dans quelques minutes, va empêcher le destroyer américain de lancer ses torpilles
Ensuite, troisième couac, parce qu'ils doivent larguer leurs bidons en deux points différents de la côte, les destroyers nippons viennent tout juste de se séparer en deux groupes, et le second groupe de trois bâtiments, mené par le Naganami, navire-amiral de Tanaka, n'a pas été détecté par les Américains !
Une minute plus tard, la distance entre le Fletcher et le Takanami est tombée à moins de 7 000 mètres, ce qui autorise le commandant du premier cité à réclamer à Wright, sur le croiseur Minneapolis, l'autorisation de lancer ses torpilles...
_at_Pearl_Harbor_Naval_Shipyard_on_11_April_1943_(80-G-K-544).jpg)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire