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| Raizo Tanaka, ou la Loi de l'Expérience |
... mathématiquement, la flotte du contre-amiral Wright est largement supérieure à celle de Tanaka, mais le nombre et la puissance de feu sont hélas loin de toujours garantir la victoire.
Sur le papier, le plan de l'Américain est excellent, mais, premier problème, il n'a jamais eu l'occasion d'être testé, et répété, lors de manœuvres, et risque donc, la nuit et dans l'excitation de la bataille, de poser de gros problèmes de coordination entre ces nombreux navires aux caractéristiques fort différentes.
Ensuite, deuxième et sans doute plus important problème, il implique d'affronter une flottille de destroyers qui, par comparaison, ne payent sans doute pas de mine, mais qui ont l'avantage d'être homogènes et surtout rompus de longue date aux affrontements de nuit.
Chaque officier, chaque marin de chaque destroyer japonais sait exactement ce qu'il doit faire dans ce genre de circonstances, s'y est régulièrement entraîné dans l'entre-deux-guerres, et n'a jamais cessé de s'y adonner depuis le début du conflit.
Et si les dits destroyers, avec leurs modestes canons de 127mm, n'ont ni le punch ni la portée des croiseurs américains, ils bénéficient en revanche, avec leurs Type 93, de torpilles incomparablement plus fiables et d'une bien plus grande allonge que celles des destroyers américains.
Pour gagner du poids, et permettre l'emport d'un plus grand nombre de bidons de ravitaillement, nombre de ces torpilles ont pourtant été démontées et déposées à quai, mais il en reste tout de même suffisamment pour faire des ravages si l'occasion se présente.
Et c'est exactement ce qui va arriver...
Sur le papier, le plan de l'Américain est excellent, mais, premier problème, il n'a jamais eu l'occasion d'être testé, et répété, lors de manœuvres, et risque donc, la nuit et dans l'excitation de la bataille, de poser de gros problèmes de coordination entre ces nombreux navires aux caractéristiques fort différentes.
Ensuite, deuxième et sans doute plus important problème, il implique d'affronter une flottille de destroyers qui, par comparaison, ne payent sans doute pas de mine, mais qui ont l'avantage d'être homogènes et surtout rompus de longue date aux affrontements de nuit.
Chaque officier, chaque marin de chaque destroyer japonais sait exactement ce qu'il doit faire dans ce genre de circonstances, s'y est régulièrement entraîné dans l'entre-deux-guerres, et n'a jamais cessé de s'y adonner depuis le début du conflit.
Et si les dits destroyers, avec leurs modestes canons de 127mm, n'ont ni le punch ni la portée des croiseurs américains, ils bénéficient en revanche, avec leurs Type 93, de torpilles incomparablement plus fiables et d'une bien plus grande allonge que celles des destroyers américains.
Pour gagner du poids, et permettre l'emport d'un plus grand nombre de bidons de ravitaillement, nombre de ces torpilles ont pourtant été démontées et déposées à quai, mais il en reste tout de même suffisamment pour faire des ravages si l'occasion se présente.
Et c'est exactement ce qui va arriver...

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