 |
| Rare photo d'un soldat japonais, grenade en main, à Guadalcanal |
... Henderson Field, 25 octobre 1942, 20h00
Car comme tous ses prédécesseurs, Maruyama n'a aucunement l'intention de demeurer sur ce sanglant échec !
L'ennui, c'est que l'expérience aidant, les Américains, de leur côté, s'attendent à voir leurs adversaires repartir à l'attaque dès la nuit suivante, et de surcroît au même endroit,... ce qui les a tout naturellement conduit à prendre des dispositions en conséquence, et en particulier à expédier des renforts au Sud de l'aérodrome.
A 20h00, à la lueur des explosions et des fusées éclairantes, les hommes de Maruyama repartent donc à l'assaut selon un schéma en tout point identique à celui de la nuit précédente, et si la météo ne joue pas cette fois les invitées-surprise, la meilleure préparation des Américains n'en condamne pas moins très vite cette nouvelle tentative.
Sur toute la ligne de Front, des centaines de mitrailleuses et de canons, et en particulier les 37mm à obus canister, font en effet des ravages dans les rangs des soldats nippons qui, inlassablement, refluent puis repartent quand même à l'attaque.
Comme celle de la Matanikau deux jours auparavant, la Bataille de Henderson Field n'est plus une bataille, mais bien un nouveau et effroyable carnage à sens unique.
Et surtout un carnage qui, dès l'aube du 26 octobre, impose une nouvelle et inévitable retraite dans la jungle, cette jungle dans laquelle, disent les Occidentaux, "les petits hommes jaunes sont rois" mais qui, à Guadalcanal du moins, n'a jusqu'ici jamais cessé de ruiner leurs projets...
Car comme tous ses prédécesseurs, Maruyama n'a aucunement l'intention de demeurer sur ce sanglant échec !
L'ennui, c'est que l'expérience aidant, les Américains, de leur côté, s'attendent à voir leurs adversaires repartir à l'attaque dès la nuit suivante, et de surcroît au même endroit,... ce qui les a tout naturellement conduit à prendre des dispositions en conséquence, et en particulier à expédier des renforts au Sud de l'aérodrome.
A 20h00, à la lueur des explosions et des fusées éclairantes, les hommes de Maruyama repartent donc à l'assaut selon un schéma en tout point identique à celui de la nuit précédente, et si la météo ne joue pas cette fois les invitées-surprise, la meilleure préparation des Américains n'en condamne pas moins très vite cette nouvelle tentative.
Sur toute la ligne de Front, des centaines de mitrailleuses et de canons, et en particulier les 37mm à obus canister, font en effet des ravages dans les rangs des soldats nippons qui, inlassablement, refluent puis repartent quand même à l'attaque.
Comme celle de la Matanikau deux jours auparavant, la Bataille de Henderson Field n'est plus une bataille, mais bien un nouveau et effroyable carnage à sens unique.
Et surtout un carnage qui, dès l'aube du 26 octobre, impose une nouvelle et inévitable retraite dans la jungle, cette jungle dans laquelle, disent les Occidentaux, "les petits hommes jaunes sont rois" mais qui, à Guadalcanal du moins, n'a jusqu'ici jamais cessé de ruiner leurs projets...
Aucun commentaire:
Publier un commentaire