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| Soldats américains évacuant un blessé, novembre 1942 |
... "Dès le matin, il était devenu évident que la dernière grande attaque japonaise sur Guadalcanal s'était soldée par un échec.
Les raisons de cet échec tenaient au manque d'unité dans le commandement, à l'incapacité [pour celui-ci] d'évaluer correctement les moyens et dispositions des Marines, et au manque de puissance de feu.
Cependant, le facteur le plus important était le même que lors de l'attaque du mois de septembre.
Les Japonais n'avaient pas réalisé les effets débilitants d'une marche de 30 miles (48 km) à travers la jungle.
En plus d'épuiser complètement les troupes contraintes à pareil périple, la dite marche empêcha les Japonais de rassembler [convenablement] leurs forces [avant l'attaque].
En pratique, et lors de la nuit critique du 24 au 25 octobre, seules des attaques au coup par coup purent être lancées contre les positions occupées par les Marines, attaques qui furent répétées [à l'identique] la nuit suivante.
Un tiers des forces dont disposait Maruyama ne participa à aucune attaque du tout" (1)
Totalement à l'avantage des Américains, le carnage n'est pourtant pas encore terminé...
(1) Stille, op cit
Les raisons de cet échec tenaient au manque d'unité dans le commandement, à l'incapacité [pour celui-ci] d'évaluer correctement les moyens et dispositions des Marines, et au manque de puissance de feu.
Cependant, le facteur le plus important était le même que lors de l'attaque du mois de septembre.
Les Japonais n'avaient pas réalisé les effets débilitants d'une marche de 30 miles (48 km) à travers la jungle.
En plus d'épuiser complètement les troupes contraintes à pareil périple, la dite marche empêcha les Japonais de rassembler [convenablement] leurs forces [avant l'attaque].
En pratique, et lors de la nuit critique du 24 au 25 octobre, seules des attaques au coup par coup purent être lancées contre les positions occupées par les Marines, attaques qui furent répétées [à l'identique] la nuit suivante.
Un tiers des forces dont disposait Maruyama ne participa à aucune attaque du tout" (1)
Totalement à l'avantage des Américains, le carnage n'est pourtant pas encore terminé...
(1) Stille, op cit

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