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| Cargos américains, à Nouméa, en 1942 |
... pour la Marine impériale, la disparition du Wasp est une nouvelle et importante victoire : que la Flotte combinée sorte maintenant en force du Lagon de Truk, et elle quasiment assurée de ne rencontrer aucun navire ennemi jusqu'à Guadalcanal !
Mais les Japonais, une fois de plus, laissent passer leur chance et se contentent d'organiser de nouvelles traversées du Tokyo Express jusqu'à l'île, en vue de l'attaque qui doit y être lancée aux alentours du 20 octobre.
Et les Américains sont bien en peine de les arrêter !
De jour, et par temps clair, les appareils de la Cactus Air Force sont certes en mesure d'empêcher leur venue, mais la nuit, ces derniers jouissent d'une confortable impunité, à peine troublée par la présence éventuelle de l'un ou l'autre PT Boat, ces petites vedettes lance-torpilles opérant depuis Tulagi et qui sont les seuls bâtiments que la Navy, depuis le désastre de Savo, est encore disposée à risquer de nuit dans les parages de Guadalcanal, tant la supériorité nippone en matière de combats nocturne s'avère flagrante !
Mais puisque les Japonais ne cessent d'envoyer des troupes à Guadalcanal, les Américains n'ont d'autre choix que de les imiter : fin septembre, surmontant ses éternelles réticences, le vice-amiral Ghormley, qui n'a toujours pas quitté son confortable Q.G. de Nouméa, va ainsi accepter l'envoi des quelque 3 000 hommes du 164ème Régiment d'Infanterie, qui se morfondaient en Nouvelle-Calédonie.
Faute de porte-avions, le convoi qui les transportera, et dont l'arrivée est prévue pour le 13 octobre, ne sera cependant escorté que par quatre croiseurs et une demi-douzaine de destroyers, confiés au contre-amiral Norman Scott.
Ce n'est guère,... et d'autant moins qu'ils risquent de rencontrer sur leur route l'un ou l'autre convoi japonais venant en sens inverse.
Mais n'anticipons pas...
Mais les Japonais, une fois de plus, laissent passer leur chance et se contentent d'organiser de nouvelles traversées du Tokyo Express jusqu'à l'île, en vue de l'attaque qui doit y être lancée aux alentours du 20 octobre.
Et les Américains sont bien en peine de les arrêter !
De jour, et par temps clair, les appareils de la Cactus Air Force sont certes en mesure d'empêcher leur venue, mais la nuit, ces derniers jouissent d'une confortable impunité, à peine troublée par la présence éventuelle de l'un ou l'autre PT Boat, ces petites vedettes lance-torpilles opérant depuis Tulagi et qui sont les seuls bâtiments que la Navy, depuis le désastre de Savo, est encore disposée à risquer de nuit dans les parages de Guadalcanal, tant la supériorité nippone en matière de combats nocturne s'avère flagrante !
Mais puisque les Japonais ne cessent d'envoyer des troupes à Guadalcanal, les Américains n'ont d'autre choix que de les imiter : fin septembre, surmontant ses éternelles réticences, le vice-amiral Ghormley, qui n'a toujours pas quitté son confortable Q.G. de Nouméa, va ainsi accepter l'envoi des quelque 3 000 hommes du 164ème Régiment d'Infanterie, qui se morfondaient en Nouvelle-Calédonie.
Faute de porte-avions, le convoi qui les transportera, et dont l'arrivée est prévue pour le 13 octobre, ne sera cependant escorté que par quatre croiseurs et une demi-douzaine de destroyers, confiés au contre-amiral Norman Scott.
Ce n'est guère,... et d'autant moins qu'ils risquent de rencontrer sur leur route l'un ou l'autre convoi japonais venant en sens inverse.
Mais n'anticipons pas...

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