Exécution d'otages polonais par des SS près de Kornik, octobre 1939 |
Alors, pour pallier leur inexpérience, les généraux, les officiers, les sous-officiers et, au bout du compte, les simples soldats de cette SS-en-armes ont tendance à "surcompenser" par l'engagement physique, le fanatisme et, bien sûr, la brutalité la plus extrême...
Jusqu'à la Chute finale du Reich, il se trouvera certes des généraux SS raisonnablement compétents,... et des généraux de la Wehrmacht passablement ineptes, des soldats SS respectueux des lois et conventions de la guerre,... et des soldats de la Wehrmacht qui s'en soucient comme d'une guigne mais, globalement, on ne peut nier ni la faiblesse de la SS en matière de commandement ni, a contrario, le caractère extrêmement brutal de ses méthodes.
Qu'ils soient Britanniques, Américains, Français ou Russes, tous seront en effet unanimes à reconnaître, et dénoncer, cette brutalité ainsi que la détestable propension des SS à ne pas s'encombrer de prisonniers ce qui, du coup, les amènera trop souvent à agir de même avec les SS capturés...
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