Car par une de ces merveilleuses ironies dont l'Histoire a le secret, si les Britanniques sont convaincus depuis 06h30 d'avoir été repérés,, et dénoncés, par un appareil de reconnaissance japonais, les Japonais, eux, ignorent toujours. à 08h00, où se se trouvent les Britanniques !
Aujourd'hui encore, l'identité de l'aéronef qui, durant de longues minutes, a suivi la Force Z vers Kuantan reste un mystère, mais à supposer-même qu'il ait été japonais, soit il n'a transmis aucun renseignement, soit ses renseignements n'ont jamais trouvé quelqu'un en mesure de les recevoir ou de les exploiter, en sorte que c'est seulement "vers le sud" que les neuf "Nell" de reconnaissance ont décollé de Saïgon, à 05h00.
Mais après plus de quatre heures de vol au régime le plus économique possible, aucun des appareils n'a encore rien découvert.
Soudain, à 09h43, alors qu'il vient de prendre le cap du retour, un des "Nell" aperçoit un petit destroyer britannique isolé, en route vers le sud.
Le Tenedos - puisque c'est de lui qu'il s'agit - a à peine le temps de réaliser ce qui lui arrive que déjà les deux bombes de 50 kilos du "Nell" tombent dans son sillage !
Ayant épuisé d'un seul coup tous ses moyens offensifs, le bimoteur japonais s'en retourne alors vers le nord et sa mission première : donner l'alerte et. si possible, retrouver le reste de la flottille britannique dont cet unique destroyer constitue peut-être l'avant-garde.
Quant au Tenedos, qui dans cette affaire n'a heureusement subi aucun dommage, il n'en a pas encore fini avec les bombes...
Mais après plus de quatre heures de vol au régime le plus économique possible, aucun des appareils n'a encore rien découvert.
Soudain, à 09h43, alors qu'il vient de prendre le cap du retour, un des "Nell" aperçoit un petit destroyer britannique isolé, en route vers le sud.
Le Tenedos - puisque c'est de lui qu'il s'agit - a à peine le temps de réaliser ce qui lui arrive que déjà les deux bombes de 50 kilos du "Nell" tombent dans son sillage !
Ayant épuisé d'un seul coup tous ses moyens offensifs, le bimoteur japonais s'en retourne alors vers le nord et sa mission première : donner l'alerte et. si possible, retrouver le reste de la flottille britannique dont cet unique destroyer constitue peut-être l'avant-garde.
Quant au Tenedos, qui dans cette affaire n'a heureusement subi aucun dommage, il n'en a pas encore fini avec les bombes...
Aucun commentaire:
Publier un commentaire