... 15 décembre 1942
En cette fin d’année 1942, la réussite du débarquement en Afrique du Nord et, à des milliers de kms de là, le retour de la nuit arctique, semblent à nouveau autoriser la traversée de convois escortés vers l’URSS.
Le 15 décembre, un convoi quitte donc le Loch Ewe à destination de Mourmansk.
C’est un test, et un test à petite échelle puisqu’il ne concerne qu’une quinzaine de cargos, contre près d’une quarantaine aux PQ-17 et PQ-18.
Malgré sa modeste ambition, ce convoi bénéficie néanmoins de la protection d’une vingtaine de navires de guerre, dont le cuirassé King George V, répartis, comme à l’accoutumée, en plusieurs échelons.
Comme pour conjurer le mauvais sort, on a également décidé de rompre avec la tradition des "PQ" au profit de celle - tout aussi poétique - des "JW" - pourquoi faire simple - va même débuter au numéro... 51-A.
En cette fin d’année 1942, la réussite du débarquement en Afrique du Nord et, à des milliers de kms de là, le retour de la nuit arctique, semblent à nouveau autoriser la traversée de convois escortés vers l’URSS.
Le 15 décembre, un convoi quitte donc le Loch Ewe à destination de Mourmansk.
C’est un test, et un test à petite échelle puisqu’il ne concerne qu’une quinzaine de cargos, contre près d’une quarantaine aux PQ-17 et PQ-18.
Malgré sa modeste ambition, ce convoi bénéficie néanmoins de la protection d’une vingtaine de navires de guerre, dont le cuirassé King George V, répartis, comme à l’accoutumée, en plusieurs échelons.
Comme pour conjurer le mauvais sort, on a également décidé de rompre avec la tradition des "PQ" au profit de celle - tout aussi poétique - des "JW" - pourquoi faire simple - va même débuter au numéro... 51-A.
Pour compliquer encore un peu plus les choses, les convois de retour, jusque-là codés «QP», ont été rebaptisés... «RA», et débuteront eux aussi au numéro 51...
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