
Dit autrement, il faut tuer bien plus de soldats chinois qu’on ne perdra soi-même de soldats ou, pour reprendre l’expression d’un officier américain, faire de toute bataille, une véritable "fricassée de Chinois".
Simple en apparence, la recette de la fricassée de Chinois implique néanmoins, faute d'une supériorité numérique qu'on ne pourra jamais obtenir, de ne livrer bataille que si, et uniquement si, l'on dispose d'une énorme supériorité en matière de canons, de tanks et, bien entendu, de chasseurs-bombardiers.
Oublions donc immédiatement toute idée de "chevalerie" ou de "romantisme guerrier" : en bon émule de Patton, et pour paraphraser le Grand George, la guerre telle que la conçoit Ridgway, et la seule guerre que les États-Unis soient en mesure de gagner - ou de ne pas perdre ! - en Corée, cette guerre consiste tout bonnement à tout mettre en œuvre pour que le maximum de connards d'en face meurent héroïquement pour leur pays !
La recette établie, reste maintenant l'essentiel : réussir la fricassée sur le terrain, et en conditions réelles...
Oublions donc immédiatement toute idée de "chevalerie" ou de "romantisme guerrier" : en bon émule de Patton, et pour paraphraser le Grand George, la guerre telle que la conçoit Ridgway, et la seule guerre que les États-Unis soient en mesure de gagner - ou de ne pas perdre ! - en Corée, cette guerre consiste tout bonnement à tout mettre en œuvre pour que le maximum de connards d'en face meurent héroïquement pour leur pays !
La recette établie, reste maintenant l'essentiel : réussir la fricassée sur le terrain, et en conditions réelles...
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