
Début février, on a ainsi créé une Panzerjagd Division, ou "division de chasseurs de chars", composée... de compagnies cyclistes recrutées au sein des Jeunesses hitlériennes.
Transportant un Panzerfaust de part et d'autre du guidon, chaque cycliste est supposé se lancer à l'assaut de tanks de 40 ou 50 tonnes (!), ce qui, plus que tout autre discours en dit long sur le désarroi et le désespoir des autorités allemandes, ainsi que sur leur mépris total de la vie de leurs propres compatriotes...
Transportant un Panzerfaust de part et d'autre du guidon, chaque cycliste est supposé se lancer à l'assaut de tanks de 40 ou 50 tonnes (!), ce qui, plus que tout autre discours en dit long sur le désarroi et le désespoir des autorités allemandes, ainsi que sur leur mépris total de la vie de leurs propres compatriotes...

"Nous vaincrons parce que nous DEVONS vaincre !", ne cesse de marteler Hermann Goering, à qui les Berlinois rétorquent que si les plus optimistes d'entre eux se sont mis à apprendre l'anglais, les pessimistes se sont déjà lancés dans l'étude acharnée du russe...

Le lendemain, les hommes de la 5ème Armée de choc ont investi la ville de Kienitz, à seulement 65 kms de Berlin, y causant une telle surprise que le chef de gare, décontenancé s'en est allé trouver un colonel soviétique pour lui demander s'il devait ou non laisser partir le train à destination de Berlin, ce à quoi le Russe, pince-sans-rire, lui a répondu que le service ferroviaire ne serait interrompu que pour une "courte période,... jusqu'à la fin de la guerre".
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