... si l'on voulait que les renforts maritimes, aériens et terrestres se portent rapidement à la rencontre des Alliés, la meilleure solution était encore de les stationner sinon à côté, du moins à proximité immédiate du "Mur de l'Atlantique".
Le problème, c'est que personne au sein de l'État-major allemand ne connaissait le lieu exact où se produirait le débarquement, ni ne s'entendait sur la distance optimale qui devait séparer les renforts stationnés à l'arrière des troupes installées directement sous le dit Mur
Certains, comme Rommel, voulaient par exemple maintenir les Panzers de réserve le plus près possible du littoral, arguant, non sans logique, que le sort de la bataille se jouerait dans les premières heures du débarquement, et que des tanks trop éloignés du Front mettraient bien trop de temps pour arriver, du fait des nombreuses attaques aériennes que les Alliés ne manqueraient pas de lancer contre eux.
D'autres, comme Runstedt, soulignaient, non sans raison, qu'on n'avait pas assez de tanks pour en garrnir les centaines de kilomètres du littoral français et aussi que maintenir ces tanks - et notamment les nouveaux chasseurs de chars JagdPanther - à proximité immédiate des côtes les rendrait non seulement indisponibles ailleurs, mais les exposerait de surcroît, pendant des semaines et même des mois, aux bombardements alliés, lesquels y prélèveraient un lourd tribut, bien avant la date du débarquement lui-même.
Faute d'informations sur le lieu exact où se produirait le débarquement, faute d'effectifs, faute aussi de béton en suffisance pour abriter hommes et matériels, l'État-major allait progressivement choisir de poster les renforts fort loin du Mur et, dans le cas de l'Aviation, jusqu'en Union Soviétique (!), ce qui n'allait pas manquer de poser des problèmes dans les heures et les jours qui suivraient le Jour J...
Le problème, c'est que personne au sein de l'État-major allemand ne connaissait le lieu exact où se produirait le débarquement, ni ne s'entendait sur la distance optimale qui devait séparer les renforts stationnés à l'arrière des troupes installées directement sous le dit Mur
Certains, comme Rommel, voulaient par exemple maintenir les Panzers de réserve le plus près possible du littoral, arguant, non sans logique, que le sort de la bataille se jouerait dans les premières heures du débarquement, et que des tanks trop éloignés du Front mettraient bien trop de temps pour arriver, du fait des nombreuses attaques aériennes que les Alliés ne manqueraient pas de lancer contre eux.
D'autres, comme Runstedt, soulignaient, non sans raison, qu'on n'avait pas assez de tanks pour en garrnir les centaines de kilomètres du littoral français et aussi que maintenir ces tanks - et notamment les nouveaux chasseurs de chars JagdPanther - à proximité immédiate des côtes les rendrait non seulement indisponibles ailleurs, mais les exposerait de surcroît, pendant des semaines et même des mois, aux bombardements alliés, lesquels y prélèveraient un lourd tribut, bien avant la date du débarquement lui-même.
Faute d'informations sur le lieu exact où se produirait le débarquement, faute d'effectifs, faute aussi de béton en suffisance pour abriter hommes et matériels, l'État-major allait progressivement choisir de poster les renforts fort loin du Mur et, dans le cas de l'Aviation, jusqu'en Union Soviétique (!), ce qui n'allait pas manquer de poser des problèmes dans les heures et les jours qui suivraient le Jour J...
Aucun commentaire:
Publier un commentaire