... où qu'il vienne à se produire, le débarquement sera nécessairement précédé, puis placé sous la protection, de fort nombreux bombardiers et canons de marine alliés, dont les Allemands vont devoir se prémunir sous peine de se voir privés de défenseurs avant-même le début de l'offensive.
Pour survivre aux bombes et obus, il n'existe en vérité que deux méthodes réellement efficaces : se trouver loin de l'endroit où ils tombent, ou alors en être protégé par plusieurs mètres de béton.
La première méthode a l'avantage d'être fort simple et de ne rien coûter, mais l'inconvénient majeur de remettre l'affrontement à plus tard, tout en laissant le littoral entièrement à la merci des Alliés, qui pourront alors y débarquer à leur aise.
La seconde permet d'engager le combat dès les premières minutes de l'offensive, et de l'engager sur un terrain (des plages, des dunes) extrêmement défavorable aux assaillants, qui n'y trouveront rien pour s'abriter.
Elle impose en revanche d'ériger des milliers et des milliers de mètres cubes de béton, ce qui s'avère d'autant plus long et coûteux qu'on n'a aucune certitude quant à l'endroit exact où se produira le débarquement,... ce qui signifie qu'il va donc falloir bâtir des fortifications de la Scandinavie à l'Espagne, autrement dit sur des milliers de kilomètres !
On peut évidemment concentrer l'essentiel des efforts sur les lieux les plus probables - c-a-d le Pas-de-Calais, la Normandie et la Bretagne - et se contenter du strict minimum partout ailleurs, mais cela laisse tout de même plusieurs centaines de kilomètres de côtes à fortifier, tâche proprement herculéenne... surtout si l'on sait que les soldats ne sont pas les seuls à vouloir se protéger des bombes...
Pour survivre aux bombes et obus, il n'existe en vérité que deux méthodes réellement efficaces : se trouver loin de l'endroit où ils tombent, ou alors en être protégé par plusieurs mètres de béton.
La première méthode a l'avantage d'être fort simple et de ne rien coûter, mais l'inconvénient majeur de remettre l'affrontement à plus tard, tout en laissant le littoral entièrement à la merci des Alliés, qui pourront alors y débarquer à leur aise.
La seconde permet d'engager le combat dès les premières minutes de l'offensive, et de l'engager sur un terrain (des plages, des dunes) extrêmement défavorable aux assaillants, qui n'y trouveront rien pour s'abriter.
Elle impose en revanche d'ériger des milliers et des milliers de mètres cubes de béton, ce qui s'avère d'autant plus long et coûteux qu'on n'a aucune certitude quant à l'endroit exact où se produira le débarquement,... ce qui signifie qu'il va donc falloir bâtir des fortifications de la Scandinavie à l'Espagne, autrement dit sur des milliers de kilomètres !
On peut évidemment concentrer l'essentiel des efforts sur les lieux les plus probables - c-a-d le Pas-de-Calais, la Normandie et la Bretagne - et se contenter du strict minimum partout ailleurs, mais cela laisse tout de même plusieurs centaines de kilomètres de côtes à fortifier, tâche proprement herculéenne... surtout si l'on sait que les soldats ne sont pas les seuls à vouloir se protéger des bombes...
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