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| Le Sheffield, près de Scapa Flow, en octobre 1941 |
... 12h53
Peu après 12h30, et alors que les Britanniques pensaient tenir le bon bout, la situation vient donc - une fois de plus ! - de changer du tout au tout puisque le Sheffield se retrouve soudainement pris pour cible et encadré par le tir du Hipper qui, après sa prudente retraite, a soudainement décidé de remonter sur scène pour un dernier tour de piste !
L'affrontement se transforme donc en un duel à deux contre deux, où les croiseurs légers britanniques, qui ne portent que du 152mm, sont nettement désavantagés par rapport aux 203 et 280mm du croiseur lourd et du Panzerschiff allemands.
Même si leur tir est moins précis, les dits Allemands disposent également de cinq destroyers en ordre de marche et surtout porteurs de nombreux - et redoutables - tubes lance-torpilles (1), ce pourquoi l'amiral Burnett, qui ne dispose pour sa part que des trois ou quatre destroyers déjà fortement éprouvés du JW51B, décide-t-il fort sagement de rompre le combat à son tour, et de retraiter en direction du convoi.
Depuis le début, Regenbogen ne se déroule pas - et c'est bien le moins qu'on puisse en dire ! - tel que prévu, mais Kummetz n'en est pas moins décidé à continuer la lutte,... donc à poursuivre à son tour les croiseurs britanniques et, qui sait, à envoyer un à un les cargos du JW51B par le fond !
Mais, à 12h53, un télégramme de l'Amirauté, de plus en plus inquiète face à la tournure des événements... et la probabilité de voir surgir un cuirassé britannique, le ramène cependant à la réalité, et lui ordonne carrément de reprendre à toute vitesse la route de l'Altenfjord avec l'ensemble de ses forces, en ce compris le Lützow qui, du début à la fin, a donc lamentablement failli à sa mission...
(1) les destroyers allemands sont par ailleurs plus gros, et mieux armés, que leurs homologues britanniques
Peu après 12h30, et alors que les Britanniques pensaient tenir le bon bout, la situation vient donc - une fois de plus ! - de changer du tout au tout puisque le Sheffield se retrouve soudainement pris pour cible et encadré par le tir du Hipper qui, après sa prudente retraite, a soudainement décidé de remonter sur scène pour un dernier tour de piste !
L'affrontement se transforme donc en un duel à deux contre deux, où les croiseurs légers britanniques, qui ne portent que du 152mm, sont nettement désavantagés par rapport aux 203 et 280mm du croiseur lourd et du Panzerschiff allemands.
Même si leur tir est moins précis, les dits Allemands disposent également de cinq destroyers en ordre de marche et surtout porteurs de nombreux - et redoutables - tubes lance-torpilles (1), ce pourquoi l'amiral Burnett, qui ne dispose pour sa part que des trois ou quatre destroyers déjà fortement éprouvés du JW51B, décide-t-il fort sagement de rompre le combat à son tour, et de retraiter en direction du convoi.
Depuis le début, Regenbogen ne se déroule pas - et c'est bien le moins qu'on puisse en dire ! - tel que prévu, mais Kummetz n'en est pas moins décidé à continuer la lutte,... donc à poursuivre à son tour les croiseurs britanniques et, qui sait, à envoyer un à un les cargos du JW51B par le fond !
Mais, à 12h53, un télégramme de l'Amirauté, de plus en plus inquiète face à la tournure des événements... et la probabilité de voir surgir un cuirassé britannique, le ramène cependant à la réalité, et lui ordonne carrément de reprendre à toute vitesse la route de l'Altenfjord avec l'ensemble de ses forces, en ce compris le Lützow qui, du début à la fin, a donc lamentablement failli à sa mission...
(1) les destroyers allemands sont par ailleurs plus gros, et mieux armés, que leurs homologues britanniques
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