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L'Orwell et l'Onslow, s'efforçant de masquer le convoi au Hipper, à l’arrière-plan |
... 08h20
A 08h20, par le tribord du JW51B, les destroyers Hybderabad et Obturate voient soudainement les échos de deux bâtiments inconnus apparaître sur leurs écrans radars.
Peut-être s'agit d'escorteurs soviétiques venus de Mourmansk ? ou alors du Bramble accompagné de l'un ou l'autre cargo égaré ? Dans le doute, Sherbrooke décide d'envoyer l'Obdurate en reconnaissance.
A 09h00, les guetteurs du destroyer britannique aperçoivent non pas deux mais bien trois navires en ligne de front.
Quinze minutes plus tard, alors que la distance est tombée à moins de 9 000 mètres, des lueurs apparaissent sur les flancs de ces mystérieux bâtiments. Encore quelques secondes, et les premiers obus tombent dans le sillage du britannique, qui vire aussitôt de bord de toute la vitesse dont il est capable.
Les Allemands sont là ! Branle-bas de combat... et au diable le silence radio : maintenant que l'ennemi a découvert le convoi, il importe au contraire de couvrir les ondes de messages de détresse afin de rameuter au plus vite le Sheffield et le Jamaïca, voire même le cuirassé Anson, dont chacun sait qu'il est "quelque part"... à défaut là encore d'en connaître la position exacte.
Mais dans l'intervalle, il faut tenir à tout prix !
Rompant la formation, l'Onslow, l'Orwell et l'Obediant se précipitent donc à la rescousse de l'Obdurate, laissant le convoi à la garde des plus petits bâtiments, et en particulier de l'Achates, déjà occupé à vomir des torrents de fumée pour dissimuler les navires du convoi à la vue des pointeurs allemands...
A 08h20, par le tribord du JW51B, les destroyers Hybderabad et Obturate voient soudainement les échos de deux bâtiments inconnus apparaître sur leurs écrans radars.
Peut-être s'agit d'escorteurs soviétiques venus de Mourmansk ? ou alors du Bramble accompagné de l'un ou l'autre cargo égaré ? Dans le doute, Sherbrooke décide d'envoyer l'Obdurate en reconnaissance.
A 09h00, les guetteurs du destroyer britannique aperçoivent non pas deux mais bien trois navires en ligne de front.
Quinze minutes plus tard, alors que la distance est tombée à moins de 9 000 mètres, des lueurs apparaissent sur les flancs de ces mystérieux bâtiments. Encore quelques secondes, et les premiers obus tombent dans le sillage du britannique, qui vire aussitôt de bord de toute la vitesse dont il est capable.
Les Allemands sont là ! Branle-bas de combat... et au diable le silence radio : maintenant que l'ennemi a découvert le convoi, il importe au contraire de couvrir les ondes de messages de détresse afin de rameuter au plus vite le Sheffield et le Jamaïca, voire même le cuirassé Anson, dont chacun sait qu'il est "quelque part"... à défaut là encore d'en connaître la position exacte.
Mais dans l'intervalle, il faut tenir à tout prix !
Rompant la formation, l'Onslow, l'Orwell et l'Obediant se précipitent donc à la rescousse de l'Obdurate, laissant le convoi à la garde des plus petits bâtiments, et en particulier de l'Achates, déjà occupé à vomir des torrents de fumée pour dissimuler les navires du convoi à la vue des pointeurs allemands...
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