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| soldats japonais, tentant de progresser dans la jungle de Guadalcanal |
... c'est donc dans le désordre, pour ne pas dire le chaos total, que débute cette Bataille de Henderson Field dans laquelle les Japonais, à commencer bien sûr par Maruyama, mettent tous leurs espoirs.
Mais totalement désorientés, et coupés de leur chaîne de commandement, la plupart des soldats nippons se contentent d'errer pendant des heures, sans but ni direction, à travers la jungle.
Et ceux qui, plus par chance que par habileté, réussissent quand même à lancer leur attaque à peu près à l'endroit prévu voient celle-ci immédiatement brisée par les tirs de l'Artillerie et des mitrailleuses américaines,... tirs auxquels ils ne peuvent riposter puisque leurs propres mortiers et canons ont presque tous été abandonnés et engloutis quelque part dans la jungle !
Inlassablement, vague après vague, ceux-là essayent pourtant, et essayent encore,... mais sont à chaque fois repoussés avec de lourdes pertes.
"L'attaque japonaise s'avéra un fiasco complet. Les multiples problèmes liés au terrain, au commandement et au contrôle firent en sorte que seule une poignée d'attaques limitées à la taille d'une compagnie se heurtèrent finalement aux minces lignes de défense américaines.
Mais totalement désorientés, et coupés de leur chaîne de commandement, la plupart des soldats nippons se contentent d'errer pendant des heures, sans but ni direction, à travers la jungle.
Et ceux qui, plus par chance que par habileté, réussissent quand même à lancer leur attaque à peu près à l'endroit prévu voient celle-ci immédiatement brisée par les tirs de l'Artillerie et des mitrailleuses américaines,... tirs auxquels ils ne peuvent riposter puisque leurs propres mortiers et canons ont presque tous été abandonnés et engloutis quelque part dans la jungle !
Inlassablement, vague après vague, ceux-là essayent pourtant, et essayent encore,... mais sont à chaque fois repoussés avec de lourdes pertes.
"L'attaque japonaise s'avéra un fiasco complet. Les multiples problèmes liés au terrain, au commandement et au contrôle firent en sorte que seule une poignée d'attaques limitées à la taille d'une compagnie se heurtèrent finalement aux minces lignes de défense américaines.
Toutes ces attaques furent repoussées dans le sang (...) Au cours de la journée suivante, les Marines tuèrent la plupart des Japonais qui s'étaient infiltrés dans leurs positions et les expulsèrent d'un saillant qu'ils avaient réussi à creuser dans leurs lignes" (1)
Et comme l'aube est toujours synonyme du retour des appareils de la Cactus Air Force, les Japonais, épuisés par leurs multiples et vaines tentatives, n'ont d'autre choix que de retraiter une fois de plus dans la jungle,... avec une fois de plus avec la ferme intention de recommencer la nuit suivante...
(1) Stille, op cit
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