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| Une bombe japonaise explose sur le pont de l'Enterprise, 24 août 1942 |
... 24 août 1942, 16h30
A 16h30, alors que le Ryujo, désemparé et en flammes, a été abandonné par son équipage, les aviateurs des Zuikaku et Shokaku amorcent quant à eux leur attaque sur les Enterprise et Saratoga qui, prévenus par leurs radars, ont lancé tous leurs chasseurs disponibles à leur rencontre.
Mais si plusieurs chasseurs japonais se voient de fait bientôt abattus, leurs camarades n'en parviennent pas moins à mettre plusieurs coups au but sur l'Enterprise, qui se retrouve sérieusement endommagé et hors d'état de poursuivre la lutte.
L'affaire pourrait même très mal tourner pour la bannière étoilée si la seconde vague d'attaque nippone, à son tour victime de problèmes de communication, ne se voyait à présent incapable de retrouver les navires américains,... et dès lors contrainte de s'en retourner bredouille vers ses propres porte-avions après s'être débarrassée de ses bombes et torpilles au-dessus de l'océan, afin d'éviter tout risque de catastrophe à l'appontage !
Alors que la nuit commence à tomber, Fletcher, conformément à ses intentions, décide de battre en retraite vers le Sud,... au grand désespoir d'Abe et, surtout, de Kondo, qui voit le porte-hydravions Chitose gravement endommagé à son tour par un petit groupe d'Avenger du Saratoga en maraude.
A minuit, faute d'avoir aperçu le moindre navire américain, leurs cuirassés et croiseurs qui, une fois de plus n'ont pas eu l'occasion de tirer le moindre coup de canon (!), n'ont alors d'autre choix que de retraiter à leur tour vers le Nord, imités en cela par les porte-avions de Nagumo, qui n'ont certes subi aucun dommage, mais dont le groupe aéronaval a en revanche été sévèrement étrillé, avec la perte de près d'une trentaine d'avions.
L'affaire n'est pourtant pas encore terminée...
A 16h30, alors que le Ryujo, désemparé et en flammes, a été abandonné par son équipage, les aviateurs des Zuikaku et Shokaku amorcent quant à eux leur attaque sur les Enterprise et Saratoga qui, prévenus par leurs radars, ont lancé tous leurs chasseurs disponibles à leur rencontre.
Mais si plusieurs chasseurs japonais se voient de fait bientôt abattus, leurs camarades n'en parviennent pas moins à mettre plusieurs coups au but sur l'Enterprise, qui se retrouve sérieusement endommagé et hors d'état de poursuivre la lutte.
L'affaire pourrait même très mal tourner pour la bannière étoilée si la seconde vague d'attaque nippone, à son tour victime de problèmes de communication, ne se voyait à présent incapable de retrouver les navires américains,... et dès lors contrainte de s'en retourner bredouille vers ses propres porte-avions après s'être débarrassée de ses bombes et torpilles au-dessus de l'océan, afin d'éviter tout risque de catastrophe à l'appontage !
Alors que la nuit commence à tomber, Fletcher, conformément à ses intentions, décide de battre en retraite vers le Sud,... au grand désespoir d'Abe et, surtout, de Kondo, qui voit le porte-hydravions Chitose gravement endommagé à son tour par un petit groupe d'Avenger du Saratoga en maraude.
A minuit, faute d'avoir aperçu le moindre navire américain, leurs cuirassés et croiseurs qui, une fois de plus n'ont pas eu l'occasion de tirer le moindre coup de canon (!), n'ont alors d'autre choix que de retraiter à leur tour vers le Nord, imités en cela par les porte-avions de Nagumo, qui n'ont certes subi aucun dommage, mais dont le groupe aéronaval a en revanche été sévèrement étrillé, avec la perte de près d'une trentaine d'avions.
L'affaire n'est pourtant pas encore terminée...
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