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| Hawaï : une destination touristique de rêve, bientôt interrompue par la guerre... |
... sans même attendre la fin des pourparlers, les Japonais, qui à vrai dire ne croient pas un seul instant à la réussite de ceux-ci, peaufinent leurs plans d'attaque, rassemblent leur flotte et la mettent en route, en sorte qu'elle puisse attaquer, dans la minute qui suivra la rupture officielle des négociations, la Flotte américaine du Pacifique, depuis peu fort opportunément stationnée à Pearl Harbor, aux îles Hawaï, donc sur une île à proximité relative du Japon.
Pour les Japonais, et en particulier pour l'amiral Isoroku Yamamoto, la destruction de cette flotte au mouillage, grâce à une attaque aéronavale largement inspirée de celle montée par les Britanniques contre les Italiens à Tarente, en novembre 1940, immobilisera les Américains durant de longs mois, permettant ainsi au Japon de lancer une vaste campagne d'invasion de tout le Pacifique occidental et de l'Asie du Sud-est.
Très inférieures en qualité et quantité, les flottes britanniques, néerlandaises et australiennes ne pourront s'y opposer et seront facilement vaincues, ou du moins tenues à bonne distance.
Les États-Unis pourront certes reconstruire de nouveaux navires - dont bon nombre sont d'ailleurs déjà en chantier - mais il leur faudra de toute manière plusieurs années avant de reconstituer une flotte capable de se mesurer avec celle du Japon, et en particulier avec ses nouveaux "super-cuirassés" Yamato et Musashi de 70 000 tonnes.
Et dans l'intervalle, le Japon aura de toute manière eu le temps de mobiliser à son usage exclusif les ressources des pays conquis, et de les "bétonner" au propre comme au figuré, en sorte que les Américains, dès lors confrontés à l'impossibilité de les reprendre sous peine de pertes inacceptables pour leur opinion publique, n'auront alors plus d'autre choix que de négocier une paix avantageuse pour le Japon.
Voilà pour la théorie...
Pour les Japonais, et en particulier pour l'amiral Isoroku Yamamoto, la destruction de cette flotte au mouillage, grâce à une attaque aéronavale largement inspirée de celle montée par les Britanniques contre les Italiens à Tarente, en novembre 1940, immobilisera les Américains durant de longs mois, permettant ainsi au Japon de lancer une vaste campagne d'invasion de tout le Pacifique occidental et de l'Asie du Sud-est.
Très inférieures en qualité et quantité, les flottes britanniques, néerlandaises et australiennes ne pourront s'y opposer et seront facilement vaincues, ou du moins tenues à bonne distance.
Les États-Unis pourront certes reconstruire de nouveaux navires - dont bon nombre sont d'ailleurs déjà en chantier - mais il leur faudra de toute manière plusieurs années avant de reconstituer une flotte capable de se mesurer avec celle du Japon, et en particulier avec ses nouveaux "super-cuirassés" Yamato et Musashi de 70 000 tonnes.
Et dans l'intervalle, le Japon aura de toute manière eu le temps de mobiliser à son usage exclusif les ressources des pays conquis, et de les "bétonner" au propre comme au figuré, en sorte que les Américains, dès lors confrontés à l'impossibilité de les reprendre sous peine de pertes inacceptables pour leur opinion publique, n'auront alors plus d'autre choix que de négocier une paix avantageuse pour le Japon.
Voilà pour la théorie...

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