| Truk : un massacre plutôt qu'une bataille.... |
… Truk, 17 février 1944
Et de fait, à l’aube du 17 février, les premiers chasseurs américains s’abattent sur le Lagon de Truk
Leur objectif : écraser les terrains d’aviation japonais et les appareils qui y sont stationnés afin de permettre aux bombardiers et avions-torpilleurs qui les suivent d’opérer ensuite au-dessus du lagon sans autre crainte qu'une DCA japonaise notoirement imprécise.
Au sol, la surprise est totale. La plupart des quelque 300 appareils japonais sont pulvérisés en quelques minutes, et les rares Zéro qui parviennent tant bien que mal à prendre l’air presque immédiatement effacés du ciel par les chasseurs américains qui bénéficient de l’avantage de l’altitude et sont de toute manière plus modernes, plus performants… et bien plus nombreux que leurs adversaires.
Le combat - si tant est qu’on puisse véritablement l’appeler ainsi - est donc purement unilatéral, et les pilotes japonais, quelles que soient leur habileté ou leur bravoure, condamnés à succomber quasiment jusqu’au dernier sans être en mesure de se défendre.
Et la situation est encore pire pour les dizaines de navires qui mouillent dans le lagon et qui, désormais privés de toute couverture aérienne, vont à présent subir pendant deux interminables journées la vindicte des différentes vagues d’attaque américaines...
Et de fait, à l’aube du 17 février, les premiers chasseurs américains s’abattent sur le Lagon de Truk
Leur objectif : écraser les terrains d’aviation japonais et les appareils qui y sont stationnés afin de permettre aux bombardiers et avions-torpilleurs qui les suivent d’opérer ensuite au-dessus du lagon sans autre crainte qu'une DCA japonaise notoirement imprécise.
Au sol, la surprise est totale. La plupart des quelque 300 appareils japonais sont pulvérisés en quelques minutes, et les rares Zéro qui parviennent tant bien que mal à prendre l’air presque immédiatement effacés du ciel par les chasseurs américains qui bénéficient de l’avantage de l’altitude et sont de toute manière plus modernes, plus performants… et bien plus nombreux que leurs adversaires.
Le combat - si tant est qu’on puisse véritablement l’appeler ainsi - est donc purement unilatéral, et les pilotes japonais, quelles que soient leur habileté ou leur bravoure, condamnés à succomber quasiment jusqu’au dernier sans être en mesure de se défendre.
Et la situation est encore pire pour les dizaines de navires qui mouillent dans le lagon et qui, désormais privés de toute couverture aérienne, vont à présent subir pendant deux interminables journées la vindicte des différentes vagues d’attaque américaines...
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