jeudi 8 juillet 2021

6788 - à Nankin, on s'amuse d'un rien...

Prisonniers enterrés vivants, Nankin, 1937
... mais à Nankin, les soldats japonais ne se contentent pas d'exécuter civils et militaires chinois par centaines de milliers : ils y ajoutent souvent diverses formes de tortures assurément fort distrayantes à leurs yeux.

Il leur arrive ainsi d’exiger d'un premier groupe de prisonniers qu'ils creusent une fosse commune, et d'un second qu'ils enterrent vivants leurs compatriotes du premier groupe,... ce qui a évidemment pour avantage de combler immédiatement les trous ainsi creusés

Outre l'éventration, la décapitation ou le démembrement, il peut aussi leur arriver de clouer les prisonniers sur des planches avant d'y faire passer leurs tanks, ou encore de les clouer contre un arbre ou un poteau électrique afin de s'exercer au maniement de la baïonnette.

Au moins une centaine de prisonniers sont également énucléés avant d'être brûlés vifs, et d'autres poignardés à mort au moyen de poinçons...

A Hsiakwan, un soldat japonais lie quant à lui les prisonniers par groupes de dix et les pousse dans un trou avant de les arroser d'essence, tandis que d'autres trouvent plus amusant de les forcer à monter au dernier étage, ou sur le toit, d'un bâtiment, de détruire l'escalier d'accès, puis de mettre le feu à l'édifice...

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