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Colonne de prisonniers allemands quittant Stalingrad, février 1943 |
... Stalingrad, 02 février 1943
"Le 2 février vers midi, un avion de reconnaissance de la Luftwaffe vint tourner au dessus de la ville. Le message radio envoyé par le pilote fut aussitôt transmis au maréchal Milch : "Plus de signes de combats dans Stalingrad"
Ainsi s’achève une aventure qui, depuis le début de la campagne de Stalingrad, a coûté à l'Armée rouge 1 100 000 hommes, dont plus de 450 000 tués et disparus.
Du côté allemand, les pertes dépassent 500 000 hommes (tués, blessés ou faits prisonniers) dont plus de 60 000 ont péri en moins de trois mois, soit entre le 19 novembre 1942 et le 02 février 1943,... autant que les Américains en près de quinze années de guerre au Vietnam (!).
Sur les 91 000 soldats allemands et alliés faits prisonniers par les Soviétiques et immédiatement envoyés dans des camps, près de la moitié mourront avant la fin du printemps, et seuls 5 000 reverront finalement leur patrie, une dizaine d’années plus tard.
Quant aux civils russes qui, du début à la fin, ont été otages et jouets des uns et des autres, nul ne sait combien d'entre eux ont péri au cours de ces six mois de combats. Les estimations variant de 100 000 à plus d'un demi-million...
"Le 2 février vers midi, un avion de reconnaissance de la Luftwaffe vint tourner au dessus de la ville. Le message radio envoyé par le pilote fut aussitôt transmis au maréchal Milch : "Plus de signes de combats dans Stalingrad"
Ainsi s’achève une aventure qui, depuis le début de la campagne de Stalingrad, a coûté à l'Armée rouge 1 100 000 hommes, dont plus de 450 000 tués et disparus.
Du côté allemand, les pertes dépassent 500 000 hommes (tués, blessés ou faits prisonniers) dont plus de 60 000 ont péri en moins de trois mois, soit entre le 19 novembre 1942 et le 02 février 1943,... autant que les Américains en près de quinze années de guerre au Vietnam (!).
Sur les 91 000 soldats allemands et alliés faits prisonniers par les Soviétiques et immédiatement envoyés dans des camps, près de la moitié mourront avant la fin du printemps, et seuls 5 000 reverront finalement leur patrie, une dizaine d’années plus tard.
Quant aux civils russes qui, du début à la fin, ont été otages et jouets des uns et des autres, nul ne sait combien d'entre eux ont péri au cours de ces six mois de combats. Les estimations variant de 100 000 à plus d'un demi-million...
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