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| dynamitage d'une partie du Vieux Port, vu comme un "nid de terroristes" |
... mais il n’y a pas que la France pour offrir de nouvelles opportunités à la SS d’Himmler !
Dans toute l’Europe occupée, les mouvements de Résistance, jusque-là muselés par les incroyables triomphes de la Wehrmacht depuis 1938, redressent en effet la tête, naissent et se développent à un rythme de plus en plus accéléré,… qui rend d’autant plus nécessaire l’existence des hommes en noir, et donc l’importance de leur chef au sein du Troisième Reich !
Et en Allemagne-même, dans la population civile mais aussi dans l’Armée, des voix commencent doucement à s’élever pour remettre en cause l’infaillibilité du Führer et de son régime, tandis que le marché noir, dopé par les restrictions de plus en plus sévères liées à l’état de guerre, prend lui aussi de l’ampleur, au point de menacer la cohésion sociale du pays.
A l’évidence, tout cela ne peut que créer des millions et des millions "d’ennemis" supplémentaires, donc offrir, pour plusieurs années et même plusieurs décennies (!), du "travail" aux hommes en noir.
Mais bien qu’ainsi assurés de ne jamais pointer au chômage (!), bon nombre d’entre eux, et notamment Carl Oberg, n’en mesurent pas moins l’absurdité d’une pareille ambition, a fortiori dans des pays comme la France, où la collaboration de la police et des autorités locales demeure malgré tout indispensable, faute de moyens allemands en suffisance !
A l’insu de ce dernier, ceux-ci s’efforcent alors, sinon de saboter, du moins de tempérer, les délires meurtriers de leur chef, et de les ramener à des proportions plus "raisonnables"…
Dans toute l’Europe occupée, les mouvements de Résistance, jusque-là muselés par les incroyables triomphes de la Wehrmacht depuis 1938, redressent en effet la tête, naissent et se développent à un rythme de plus en plus accéléré,… qui rend d’autant plus nécessaire l’existence des hommes en noir, et donc l’importance de leur chef au sein du Troisième Reich !
Et en Allemagne-même, dans la population civile mais aussi dans l’Armée, des voix commencent doucement à s’élever pour remettre en cause l’infaillibilité du Führer et de son régime, tandis que le marché noir, dopé par les restrictions de plus en plus sévères liées à l’état de guerre, prend lui aussi de l’ampleur, au point de menacer la cohésion sociale du pays.
A l’évidence, tout cela ne peut que créer des millions et des millions "d’ennemis" supplémentaires, donc offrir, pour plusieurs années et même plusieurs décennies (!), du "travail" aux hommes en noir.
Mais bien qu’ainsi assurés de ne jamais pointer au chômage (!), bon nombre d’entre eux, et notamment Carl Oberg, n’en mesurent pas moins l’absurdité d’une pareille ambition, a fortiori dans des pays comme la France, où la collaboration de la police et des autorités locales demeure malgré tout indispensable, faute de moyens allemands en suffisance !
A l’insu de ce dernier, ceux-ci s’efforcent alors, sinon de saboter, du moins de tempérer, les délires meurtriers de leur chef, et de les ramener à des proportions plus "raisonnables"…
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