Bien que très endommagé, le Suzutsuki survécut aux combats du 7 avril |
… en avarie de barre, mais machines tournant toujours à plein régime, le destroyer Kasumi passe à deux doigts d’éperonner le Yamato avant de glisser sur son quart bâbord en poursuivant sur son erre.
Sa plage avant et son étrave déchiquetées par les bombes, son artillerie principale hors d’usage, le Suzutsuki n’est quant à lui plus qu’une épave calcinée, où s’empilent les cadavres.
Sur le croiseur Yahagi, immobilisé sur l’eau et ravagé par les explosions, la situation est désespérée : après avoir ordonné que l’on jette par dessus-bord toutes les torpilles entreposées sur la plage arrière - qu’il craint de voir désintégrée à tout instant par les bombes américaines - le commandant prie le destroyer Isokaze de se rapprocher afin de procéder au transbordement des officier et marins survivants.
Mais la manœuvre a hélas pour effet d’attirer l’attention de nouveaux appareils américains - car dans le ciel, il y en a d’autres, et d’autres encore, qui attendent patiemment leur tour avant de passer à table ! - lesquels ont tôt fait d’interrompre l’opération et de transformer le destroyer saint-bernard en un amas de ferrailles supplémentaire.
Pour sa part, le Fuyutsuki est plus heureux, qui, après avoir vu des roquettes américaines le frapper sans exploser, voit ensuite une torpille passer tranquillement sous sa quille et poursuivre sa route sans lui causer le moindre dommage.
Le malheur des uns, le bonheur des autres…
Sa plage avant et son étrave déchiquetées par les bombes, son artillerie principale hors d’usage, le Suzutsuki n’est quant à lui plus qu’une épave calcinée, où s’empilent les cadavres.
Sur le croiseur Yahagi, immobilisé sur l’eau et ravagé par les explosions, la situation est désespérée : après avoir ordonné que l’on jette par dessus-bord toutes les torpilles entreposées sur la plage arrière - qu’il craint de voir désintégrée à tout instant par les bombes américaines - le commandant prie le destroyer Isokaze de se rapprocher afin de procéder au transbordement des officier et marins survivants.
Mais la manœuvre a hélas pour effet d’attirer l’attention de nouveaux appareils américains - car dans le ciel, il y en a d’autres, et d’autres encore, qui attendent patiemment leur tour avant de passer à table ! - lesquels ont tôt fait d’interrompre l’opération et de transformer le destroyer saint-bernard en un amas de ferrailles supplémentaire.
Pour sa part, le Fuyutsuki est plus heureux, qui, après avoir vu des roquettes américaines le frapper sans exploser, voit ensuite une torpille passer tranquillement sous sa quille et poursuivre sa route sans lui causer le moindre dommage.
Le malheur des uns, le bonheur des autres…
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