... le 2 novembre 1944, près de 200 B-24 de la 8ème USAAF noient le Viaduc de Bielefed et ses alentours sous des centaines de tonnes de bombes... sans détruire autre chose que quelques malheureux rails, réparés en moins de 24 heures.
Non sans naïveté, les Américains se sentent pourtant en mesure de réussir là où les Britanniques ont échoué quatre ans plus tôt.
Mais les nouveaux raids des 26 et 29 novembre, puis du 6 décembre n'apportent aucun résultat,... si ce n'est peut-être celui de faire fuir les derniers habitants de Bielefeld, plus que souvent victimes d'une bombe perdue.
Mais les nouveaux raids des 26 et 29 novembre, puis du 6 décembre n'apportent aucun résultat,... si ce n'est peut-être celui de faire fuir les derniers habitants de Bielefeld, plus que souvent victimes d'une bombe perdue.
Un instant interrompus par la météo et l'offensive allemande dans les Ardennes, les bombardements reprennent de plus belle dès le 9 février et se poursuivent jusqu'au 7 mars 1945, avec pour seul effet notable de légèrement endommager une des vingt-huit arches du viaduc.
Peu de choses en vérité, que des travailleurs forcés réparent d'ailleurs en quelques heures.
Peu de choses en vérité, que des travailleurs forcés réparent d'ailleurs en quelques heures.
Mais entretemps, les Britanniques sont revenus dans la course, avec la certitude de réussir avec leurs "super-bombes" Tallboy de 5 tonnes ce que les Américains n'ont pu obtenir avec leurs "bombinettes" de 250 ou 500 kilos
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