... Juno, c'est en quelque sorte la revanche canadienne au désastreux Raid sur Dieppe d'août 1942
Comme à Omaha, l'affaire ne va pourtant pas sans peine car, comme à Omaha, les bombardements opérés par l'Aviation et l'artillerie navale ont été fort peu efficaces.
Si la première vague d'assaut se trouve également clouée sur place, les Canadiens au moins peuvent compter sur l'appui d'une vingtaine de tanks amphibies, qu'ils sont parvenus à mettre à l'eau à moins d'un kilomètre du rivage. Avec leur aide, les défenses allemandes cèdent rapidement, ce qui permet aux Canadiens de libérer Courseulles, puis Saint-Aubin, qui tombe vers 18h00
Avec moins de 800 tués, blessés ou disparus, les pertes canadiennes, bien que supérieures à celles des Britanniques, sont néanmoins modérées. Et de fait, en cette journée du 6 juin, ce sont les Américains, ceux d'Omaha et de la Pointe-du-Hoc, ceux des 82ème et 101ème Airborne, qui ont payé le plus lourd tribut à la Libération de la France.
Pour l'anecdote, parmi les 24 000 Canadiens qui ont pris pied sur le littoral normand, le Régiment de la Chaudière constitue la seule unité francophone du dispositif. Nonobstant. si on ajoute à ceux-ci les anglophones bilingues, on constate que la quasi-totalité des soldats qu'on entend parler en français dans les premiers villages libérés sont en réalité Canadiens, puisque le Commando Kieffer, qui a débarqué sur Sword en compagnie des Britanniques, compte moins de 200 soldats français...
Comme à Omaha, l'affaire ne va pourtant pas sans peine car, comme à Omaha, les bombardements opérés par l'Aviation et l'artillerie navale ont été fort peu efficaces.
Si la première vague d'assaut se trouve également clouée sur place, les Canadiens au moins peuvent compter sur l'appui d'une vingtaine de tanks amphibies, qu'ils sont parvenus à mettre à l'eau à moins d'un kilomètre du rivage. Avec leur aide, les défenses allemandes cèdent rapidement, ce qui permet aux Canadiens de libérer Courseulles, puis Saint-Aubin, qui tombe vers 18h00
Avec moins de 800 tués, blessés ou disparus, les pertes canadiennes, bien que supérieures à celles des Britanniques, sont néanmoins modérées. Et de fait, en cette journée du 6 juin, ce sont les Américains, ceux d'Omaha et de la Pointe-du-Hoc, ceux des 82ème et 101ème Airborne, qui ont payé le plus lourd tribut à la Libération de la France.
Pour l'anecdote, parmi les 24 000 Canadiens qui ont pris pied sur le littoral normand, le Régiment de la Chaudière constitue la seule unité francophone du dispositif. Nonobstant. si on ajoute à ceux-ci les anglophones bilingues, on constate que la quasi-totalité des soldats qu'on entend parler en français dans les premiers villages libérés sont en réalité Canadiens, puisque le Commando Kieffer, qui a débarqué sur Sword en compagnie des Britanniques, compte moins de 200 soldats français...
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