
Au fil des semaines, il décida de dégarnir progressivement ses arrières et, surtout, d'en confier la garde à des forces "diluées", c-à-d composées majoritairement, quand ce n'était pas exclusivement, d'alliés hongrois, roumains ou italiens, à l'ardeur combative pour le moins douteuse et au sous-équipement chronique, puisque manquant presque totalement de canons antichars.
"Un sergent [italien] à qui un interprète soviétique demandait pourquoi tout le bataillon s'était rendu sans tirer un coup de feu, répondit simplement : "nous n'avons pas riposté parce que nous avons pensé que ce serait une erreur"" (1)
Ce ne fut que la première "erreur" d'une longue suite...
(1) Beevor, page 252
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