La V2 : "l'arme-miracle" qui n'en fut jamais une... |
... s’il joignait réellement ses efforts à ceux de la 8ème air Force, c-à-d s'il pilonnait prioritairement l’industrie pétrolière et les voies de communication au lieu de s’en prendre aux villes, le Bomber Command d'Arthur Harris pourrait - peut-être - hâter la fin de la guerre.
Mais contrairement à ce que prévoyait Douhet,... et à ce que Harris tente de réaliser depuis maintenant deux ans (!), les bombes qui ne cessent de s'abattre sur les villes allemandes ne poussent nullement les civils allemands à se révolter contre leur Führer qui, de son côté, et dans sa vision toute darwinienne de l’Histoire, se moque bien de ce qui peut arriver aux civils allemands et aussi à l’Allemagne toute entière, laquelle, si elle se retrouve finalement vaincue, n’aura en réalité qu’elle-même à blâmer, puisqu’elle ne se sera pas montrée aussi forte, aussi résolue, aussi impitoyable que ses adversaires !
Et non content de continuer à expédier, par pure vengeance, V2 sur V2 contre Londres et les civils londoniens, Hitler a un plan : profiter du "miracle d’automne", c-à-d du répit que lui laissent bien malgré eux les Alliés occidentaux et soviétiques pour tenter un dernier "grosse schlag", un dernier "grand coup" à l’Ouest.
Depuis le début de l’automne, la Wehrmacht, la Luftwaffe, mais aussi Albert Speer, s’efforcent tant bien que mal de réunir les troupes, les tanks, les avions, mais aussi, et peut-être surtout, le précieux carburant pour cette ultime offensive du Troisième Reich qui, si tout va bien, ou plutôt avec un miracle, permettra - peut-être - de se rendre jusqu’à Anvers, et ainsi de priver Américains et Britanniques de ravitaillement durant plusieurs semaines, soit le temps pour que les fameuses "armes-miracles" fassent enfin leur preuve, ou que les Alliés occidentaux, tétanisés par leurs pertes, et réalisant qu’ils ne pourront pas, comme ils le pensaient, l’emporter si facilement, se décident eux-mêmes à accepter une paix de compromis, ce qui, là encore, relèverait d’un autre miracle !
Mais contrairement à ce que prévoyait Douhet,... et à ce que Harris tente de réaliser depuis maintenant deux ans (!), les bombes qui ne cessent de s'abattre sur les villes allemandes ne poussent nullement les civils allemands à se révolter contre leur Führer qui, de son côté, et dans sa vision toute darwinienne de l’Histoire, se moque bien de ce qui peut arriver aux civils allemands et aussi à l’Allemagne toute entière, laquelle, si elle se retrouve finalement vaincue, n’aura en réalité qu’elle-même à blâmer, puisqu’elle ne se sera pas montrée aussi forte, aussi résolue, aussi impitoyable que ses adversaires !
Et non content de continuer à expédier, par pure vengeance, V2 sur V2 contre Londres et les civils londoniens, Hitler a un plan : profiter du "miracle d’automne", c-à-d du répit que lui laissent bien malgré eux les Alliés occidentaux et soviétiques pour tenter un dernier "grosse schlag", un dernier "grand coup" à l’Ouest.
Depuis le début de l’automne, la Wehrmacht, la Luftwaffe, mais aussi Albert Speer, s’efforcent tant bien que mal de réunir les troupes, les tanks, les avions, mais aussi, et peut-être surtout, le précieux carburant pour cette ultime offensive du Troisième Reich qui, si tout va bien, ou plutôt avec un miracle, permettra - peut-être - de se rendre jusqu’à Anvers, et ainsi de priver Américains et Britanniques de ravitaillement durant plusieurs semaines, soit le temps pour que les fameuses "armes-miracles" fassent enfin leur preuve, ou que les Alliés occidentaux, tétanisés par leurs pertes, et réalisant qu’ils ne pourront pas, comme ils le pensaient, l’emporter si facilement, se décident eux-mêmes à accepter une paix de compromis, ce qui, là encore, relèverait d’un autre miracle !
Cela fait tout de même beaucoup de miracles à attendre...
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