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| Cookie de 4 000 livres chargé sur un Mosquito : la "merveille en bois" servait aussi à cela... |
... Harris, de son côté, est toujours aussi peu décidé à accorder le moindre répit aux habitant de Hambourg.
Mais après deux raids nocturnes massifs, dont un qu’il a hélas fallu rediriger vers Essen, appareils et équipages ont bien besoin d’un peu de repos.
Dans la nuit du 26 au 27 juillet, les bombardiers vont donc demeurer au sol. Cependant, et comme la nuit précédente, on va néanmoins gratifier Hambourg de la visite de quelques Mosquito supplémentaires, histoire d’y maintenir la tension.
A ce stade, on aimerait pouvoir écrire que le châtiment a assez duré, et que les civils de la ville ont largement payé pour leurs pêchés, ou plus exactement pour leur soutien à Adolf Hitler et au régime nazi.
Mais Harris, encore lui, n’est pas du tout du même avis, et est du reste encore fort loin de l’objectif des "10 000 tonnes de bombes" qu’il s’est promis de déverser sur Hambourg !
Alors, dans la soirée du 27 - les Américains s’étant cette fois abstenus de bombarder durant la journée - près de 800 appareils redécollent vers la malheureuse cité où les pompiers allemands, qui viennent par ailleurs de perdre le soutien de leurs collègues de Hanovre, rappelés chez eux suite aux incendies provoqués dans leur propre ville par le bombardement américain du 26, s’efforcent toujours de maîtriser les flammes.
Leur absence, les multiples dégâts causés aux infrastructures par les bombardements antérieurs, et le temps toujours inhabituellement chaud et sec qui continue de régner sur la ville, vont à présent se lier pour favoriser l’Apocalypse...
Mais après deux raids nocturnes massifs, dont un qu’il a hélas fallu rediriger vers Essen, appareils et équipages ont bien besoin d’un peu de repos.
Dans la nuit du 26 au 27 juillet, les bombardiers vont donc demeurer au sol. Cependant, et comme la nuit précédente, on va néanmoins gratifier Hambourg de la visite de quelques Mosquito supplémentaires, histoire d’y maintenir la tension.
A ce stade, on aimerait pouvoir écrire que le châtiment a assez duré, et que les civils de la ville ont largement payé pour leurs pêchés, ou plus exactement pour leur soutien à Adolf Hitler et au régime nazi.
Mais Harris, encore lui, n’est pas du tout du même avis, et est du reste encore fort loin de l’objectif des "10 000 tonnes de bombes" qu’il s’est promis de déverser sur Hambourg !
Alors, dans la soirée du 27 - les Américains s’étant cette fois abstenus de bombarder durant la journée - près de 800 appareils redécollent vers la malheureuse cité où les pompiers allemands, qui viennent par ailleurs de perdre le soutien de leurs collègues de Hanovre, rappelés chez eux suite aux incendies provoqués dans leur propre ville par le bombardement américain du 26, s’efforcent toujours de maîtriser les flammes.
Leur absence, les multiples dégâts causés aux infrastructures par les bombardements antérieurs, et le temps toujours inhabituellement chaud et sec qui continue de régner sur la ville, vont à présent se lier pour favoriser l’Apocalypse...
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