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| Canons de 406mm de l'Iowa, en action contre les fuyards japonais |
… dans cet engagement de surface que rien ne justifie pourtant au niveau tactique, les navires japonais, totalement surclassés en puissance de feu par leurs adversaires américains, qui de surcroit ont l’avantage de pouvoir tirer de bien plus loin, et au radar, n’ont évidemment aucune chance.
Mais ceci ne les empêche pourtant pas de se battre avec acharnement, et même d’infliger des dégâts mineurs à l’un ou l’autre bâtiment ennemi, avant de succomber jusqu’au dernier.
Pour Mitscher, cette action bien inutile, et qui aurait pu lui coûter cher - le cuirassé New-Jersey a notamment été encadré par plusieurs torpilles - se solde néanmoins par une éclatante victoire de plus, et une victoire qui, cherry on the sundae, a par ailleurs permis aux dits Iowa et New-Jersey d’utiliser leurs canons de 406mm contre des navires de guerre japonais pour la première - mais aussi dernière ! - fois de la guerre.
L’affaire n’est pourtant pas terminée car tout au long de la nuit, et signe qu’ils ne sont nullement décidés à jeter l’éponge, une poignée d’avions japonais survivants tentent de se frayer un chemin jusqu’aux porte-avions américains, et réussissent même à loger une torpille sur le flanc tribord de l’Intrepid, tuant une dizaine de marins, et contraignant le malheureux porte-avions à retraiter jusqu’à un chantier naval dont il ne sortira qu’au mois d’août.
Qu’importe : compte tenu des moyens dont ils disposent, l’affaire ne constitue pour les Américains qu’un léger incident,... d’autant plus vite oublié que l’arrivée de l'aube du 18 février, va maintenant leur permettre d’achever leur œuvre de destruction…
Mais ceci ne les empêche pourtant pas de se battre avec acharnement, et même d’infliger des dégâts mineurs à l’un ou l’autre bâtiment ennemi, avant de succomber jusqu’au dernier.
Pour Mitscher, cette action bien inutile, et qui aurait pu lui coûter cher - le cuirassé New-Jersey a notamment été encadré par plusieurs torpilles - se solde néanmoins par une éclatante victoire de plus, et une victoire qui, cherry on the sundae, a par ailleurs permis aux dits Iowa et New-Jersey d’utiliser leurs canons de 406mm contre des navires de guerre japonais pour la première - mais aussi dernière ! - fois de la guerre.
L’affaire n’est pourtant pas terminée car tout au long de la nuit, et signe qu’ils ne sont nullement décidés à jeter l’éponge, une poignée d’avions japonais survivants tentent de se frayer un chemin jusqu’aux porte-avions américains, et réussissent même à loger une torpille sur le flanc tribord de l’Intrepid, tuant une dizaine de marins, et contraignant le malheureux porte-avions à retraiter jusqu’à un chantier naval dont il ne sortira qu’au mois d’août.
Qu’importe : compte tenu des moyens dont ils disposent, l’affaire ne constitue pour les Américains qu’un léger incident,... d’autant plus vite oublié que l’arrivée de l'aube du 18 février, va maintenant leur permettre d’achever leur œuvre de destruction…
1 commentaire:
Bonjour!
Blog très informatif...Curieux que Marc Mitscher , amiral calme et pondéré, l'antithèse de Halsey le furieux, ait lancé une attaque au canon , à l'ancienne,façon Jutland, alors même qu'il était un ardent promoteur de l'aviation navale embarquée , ayant dans ses débuts de carrière été un des premiers officiers de marine américains à passer son brevet de pilote d'avion (et pas pour faire des ronds dans l'air le dimanche au dessus d'un aéro-club , il faillit se noyer au cours d'une tentative de vol transatlantique à bord d'un hydravion Curtiss qui avait tout de la cage à poules volante ficelée sur un gros canoé Kayak et ce bien avant Lindbergh , en 1919)
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