... paysannes, étudiantes, enseignantes, employées, ouvrières ou même nonnes, aucune classe sociale n’est épargnée par le viol, mené le plus souvent en groupe, et parfois jusqu'à la mort.
Et à Nankin, aucun endroit n’est sacré, et aucune heure n'offre le moindre répit. On voit ainsi des nonnes se faire violer à l'intérieur des églises, et pas moins de dix-sept soldats japonais s'en prendre à une seule d'entre elle à l'intérieur d'un séminaire.
Et l'âge n'est pas davantage un critère d'exclusion puisque même des grands-mères subissent des viols multiples. Lorsqu'une femme de 66 ans tentera de se dérober, arguant qu'elle est "trop vieille pour cela", les soldats se contenteront alors de la violer avec un bâton.
A l'autre extrême de la pyramide des âges, des petites filles sont si brutalement violées qu'elles se retrouvent incapables de marcher pendant des semaines, doivent se faire recoudre, ou décèdent purement et simplement sur place. Des gamines de dix ans sont fréquemment violées en pleine rue, puis coupées en deux au sabre.
Même les femmes enceintes n'inspirent pas la moindre pitié : à plusieurs reprises les soldats japonais n’hésitent pas à leur ouvrir le ventre pour en arracher le fœtus, non sans les avoir violées au préalable...
Et à Nankin, aucun endroit n’est sacré, et aucune heure n'offre le moindre répit. On voit ainsi des nonnes se faire violer à l'intérieur des églises, et pas moins de dix-sept soldats japonais s'en prendre à une seule d'entre elle à l'intérieur d'un séminaire.
Et l'âge n'est pas davantage un critère d'exclusion puisque même des grands-mères subissent des viols multiples. Lorsqu'une femme de 66 ans tentera de se dérober, arguant qu'elle est "trop vieille pour cela", les soldats se contenteront alors de la violer avec un bâton.
A l'autre extrême de la pyramide des âges, des petites filles sont si brutalement violées qu'elles se retrouvent incapables de marcher pendant des semaines, doivent se faire recoudre, ou décèdent purement et simplement sur place. Des gamines de dix ans sont fréquemment violées en pleine rue, puis coupées en deux au sabre.
Même les femmes enceintes n'inspirent pas la moindre pitié : à plusieurs reprises les soldats japonais n’hésitent pas à leur ouvrir le ventre pour en arracher le fœtus, non sans les avoir violées au préalable...
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