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| Stalingrad : combattre rue par rue, maison par maison, pièce par pièce,... |
… Werwolf, 24 septembre 1942
Le 24 septembre, Hitler, de plus en plus excédé par le déroulement des opérations à l'Est, décide de limoger le général Halder, chef de l'État-major général de la Wehrmacht, et à ce titre considéré comme le principal responsable des retards pris devant Stalingrad.
A ce stade, il n’est cependant pas encore question de s'en prendre directement au commandement de la 6ème Armée sur le terrain, donc au général Paulus lui-même, mais le message - ou devrait-on dire le coup de semonce - est néanmoins suffisamment clair pour que le dit Paulus y voit une raison supplémentaire pour redoubler d'ardeur patriotique et guerrière !
Il faut dire qu'en Allemagne-même, la population comprend de moins de moins qu'un général commandant une armée de plus de 300 000 hommes - ce qui n’est tout de même pas rien ! - soit incapable, après des semaines de siège et de combats de rues, d'annoncer la reddition d'une ville d'un million d'habitants.
A sa décharge, Paulus fait évidemment observer que des divisions dont il dispose, onze sont réquisitionnées en permanence pour tenir un Front de 200 kms de long, s'étendant du Don à la Volga, et traversant la steppe jusqu'au sud de Stalingrad.
Seules huit divisions combattent donc réellement dans la ville elle-même, ce qui, vu le contexte, est sans doute insuffisant.
Mais Paulus a-t-il lui-même les qualités requises pour accomplir ce que son Führer attend de lui ?
Le 24 septembre, Hitler, de plus en plus excédé par le déroulement des opérations à l'Est, décide de limoger le général Halder, chef de l'État-major général de la Wehrmacht, et à ce titre considéré comme le principal responsable des retards pris devant Stalingrad.
A ce stade, il n’est cependant pas encore question de s'en prendre directement au commandement de la 6ème Armée sur le terrain, donc au général Paulus lui-même, mais le message - ou devrait-on dire le coup de semonce - est néanmoins suffisamment clair pour que le dit Paulus y voit une raison supplémentaire pour redoubler d'ardeur patriotique et guerrière !
Il faut dire qu'en Allemagne-même, la population comprend de moins de moins qu'un général commandant une armée de plus de 300 000 hommes - ce qui n’est tout de même pas rien ! - soit incapable, après des semaines de siège et de combats de rues, d'annoncer la reddition d'une ville d'un million d'habitants.
A sa décharge, Paulus fait évidemment observer que des divisions dont il dispose, onze sont réquisitionnées en permanence pour tenir un Front de 200 kms de long, s'étendant du Don à la Volga, et traversant la steppe jusqu'au sud de Stalingrad.
Seules huit divisions combattent donc réellement dans la ville elle-même, ce qui, vu le contexte, est sans doute insuffisant.
Mais Paulus a-t-il lui-même les qualités requises pour accomplir ce que son Führer attend de lui ?
1 commentaire:
...200 km...
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