... relativement récent, le Warspite, ainsi que l'ensemble des cuirassés des classes Queen Elizabeth et Royal Sovereign, n'est pas concerné par la cure d'amaigrissement à laquelle doit s'astreindre la Royal Navy au terme du Traité de Washington,
Et cet amaigrissement est particulièrement sévère, puisqu'en l'espace de quelques années seulement, il va contraindre la Grande-Bretagne à se séparer de la moitié de la sa flotte de cuirassés et de croiseurs de bataille, soit de quelque 18 bâtiments dont certains, comme le Lion, l'Inflexible ou le Princess Royal, l'ont pourtant brillamment servi lors de la 1ère G.M.
Et cet amaigrissement est particulièrement sévère, puisqu'en l'espace de quelques années seulement, il va contraindre la Grande-Bretagne à se séparer de la moitié de la sa flotte de cuirassés et de croiseurs de bataille, soit de quelque 18 bâtiments dont certains, comme le Lion, l'Inflexible ou le Princess Royal, l'ont pourtant brillamment servi lors de la 1ère G.M.
Mais s'il a la chance d'échapper au ferraillage, le Warspite n'échappera cependant pas à l'ennui, cet ennui des longs séjours au port, entrecoupés de sorties d'exercice en Méditerrannée, qui va caractériser les années 1920.
Les missions de prestige et de représentation autour du globe sont en effet dévolues au Hood et, plus tard, au Nelson et au Rodney, tout trois plus gros, plus récents et plus puissants que le Warspite, qui n'intéresse plus architectes et ingénieurs et sur lequel les ouvriers ne se penchent plus qu'avec parcimonie et seulement dans le but de le maintenir en service le plus longtemps possible, notamment en lui ajoutant quelques plaques de blindages et quelques canons de petit calibre dont on espère - non sans optimisme - qu'ils lui permettront de repousser les assauts d'un tout nouveau genre d'adversaire...
... le bombardier-torpilleur
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