... cependant, qu’ils soient nouveaux ou simplement remis à neuf, les tanks lourds ont souvent le défaut d’être bien trop… lourds non seulement pour les finances publiques, mais aussi pour les routes et les ponts de nombreux pays sud-américains, africains ou asiatiques.
En Argentine comme en Thaïlande, la probabilité d’assister à des affrontements entre blindés est pour ainsi dire inexistante, et l’armée de ces pays sert bien davantage à maintenir l’Ordre public et réprimer une Opposition politique désarmée qu’à défendre l’intégrité des frontières contre des forces étrangères.
Dans ces conditions, acheter, même à bas prix, ou même d’occasion, des tanks de 50 ou 60 tonnes, revient en fait à acquérir des marteaux-pilons dans le seul but d’écraser des mouches ... mais avec la certitude que les dits outils vont d’abord et avant tout écraser et détruire les infrastructures du pays sous leur propre poids.
D’où l’intérêt pour des tanks plus "raisonnables", de 20 à 30 tonnes seulement - comme le TAM argentin ou le Stingray utilisé par l’armée thaïlandaise – dont le blindage de 2 à 5 cm d’épaisseur, bien que faible dans l’absolu, est néanmoins suffisant pour résister aux balles de mitrailleuses ou aux obus de 20 à 30 mm, soit aux périls les plus vraisemblables pour leurs utilisateurs respectifs.
Et avec leur canon de 105mm, et des munitions convenables, ces engins sont de toute manière parfaitement capables de reprendre le rôle des défunts Sherman Firefly, c-à-d de celui de chars moyens capables de venir à bout de n'importe quel char lourd (1)
Encore faut-il, évidemment, ne pas pousser la cure d'amaigrissement trop loin...
(1) même si, bien entendu, ils éclateraient eux-mêmes comme une grenade au moindre tir d'un de ces chars lourds !
Dans ces conditions, acheter, même à bas prix, ou même d’occasion, des tanks de 50 ou 60 tonnes, revient en fait à acquérir des marteaux-pilons dans le seul but d’écraser des mouches ... mais avec la certitude que les dits outils vont d’abord et avant tout écraser et détruire les infrastructures du pays sous leur propre poids.
D’où l’intérêt pour des tanks plus "raisonnables", de 20 à 30 tonnes seulement - comme le TAM argentin ou le Stingray utilisé par l’armée thaïlandaise – dont le blindage de 2 à 5 cm d’épaisseur, bien que faible dans l’absolu, est néanmoins suffisant pour résister aux balles de mitrailleuses ou aux obus de 20 à 30 mm, soit aux périls les plus vraisemblables pour leurs utilisateurs respectifs.
Et avec leur canon de 105mm, et des munitions convenables, ces engins sont de toute manière parfaitement capables de reprendre le rôle des défunts Sherman Firefly, c-à-d de celui de chars moyens capables de venir à bout de n'importe quel char lourd (1)
Encore faut-il, évidemment, ne pas pousser la cure d'amaigrissement trop loin...
(1) même si, bien entendu, ils éclateraient eux-mêmes comme une grenade au moindre tir d'un de ces chars lourds !
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