... une autre manière de faire face à la hausse continuelle du prix des armes est naturellement de conserver plus longtemps celles qu'on possède déjà.
Aujourd'hui, avions ou chars de combat vieux de 20, 30 ou 40 ans, mais toujours en service, constituent la règle plutôt que l'exception. Et en vérité, à condition d'être régulièrement entretenus et mis à jour, ceux-ci n'ont pas grand-chose à envier aux neufs.
En matière de reconditionnement, et qu'il s'agisse d'avions ou de tanks, "sky is the limit" : entre un simple changement de moteur et une reconstruction complète, tout dépend seulement de la volonté de l'utilisateur... et de la somme qu'il est prêt à allouer pour faire du (raisonnablement) neuf avec du vieux.
Certains pays, comme Israël et l'Afrique du Sud, se sont même spécialisés dans le "revamping" d'anciens armements - les leurs et ceux des autres - et les proposent également à l'exportation, pour une fraction du prix d'engins neufs.
Et ce "revamping" peut en vérité être si profond qu'il devient difficile, si pas impossible, d'en retracer les origines : Magach israéliens ou Olifant sud-africains n'offrent désormais plus qu'une ressemblance superficielle avec les M48/M60 américains, ou les Centurions britanniques, dont ils sont pourtant issus.
Outre les moteurs - à présent turbodiesel - les changements portent en effet sur l'armement, l'électronique embarquée, l'ajout de nombreuses plaques de blindage, et même les tourelles, qui ne ressemblent plus en rien à celle de leurs ancêtres et offrent meilleure habitabilité, performances accrues, et seconde jeunesse aux tanks qui en sont équipés...
Aujourd'hui, avions ou chars de combat vieux de 20, 30 ou 40 ans, mais toujours en service, constituent la règle plutôt que l'exception. Et en vérité, à condition d'être régulièrement entretenus et mis à jour, ceux-ci n'ont pas grand-chose à envier aux neufs.
En matière de reconditionnement, et qu'il s'agisse d'avions ou de tanks, "sky is the limit" : entre un simple changement de moteur et une reconstruction complète, tout dépend seulement de la volonté de l'utilisateur... et de la somme qu'il est prêt à allouer pour faire du (raisonnablement) neuf avec du vieux.
Certains pays, comme Israël et l'Afrique du Sud, se sont même spécialisés dans le "revamping" d'anciens armements - les leurs et ceux des autres - et les proposent également à l'exportation, pour une fraction du prix d'engins neufs.
Et ce "revamping" peut en vérité être si profond qu'il devient difficile, si pas impossible, d'en retracer les origines : Magach israéliens ou Olifant sud-africains n'offrent désormais plus qu'une ressemblance superficielle avec les M48/M60 américains, ou les Centurions britanniques, dont ils sont pourtant issus.
Outre les moteurs - à présent turbodiesel - les changements portent en effet sur l'armement, l'électronique embarquée, l'ajout de nombreuses plaques de blindage, et même les tourelles, qui ne ressemblent plus en rien à celle de leurs ancêtres et offrent meilleure habitabilité, performances accrues, et seconde jeunesse aux tanks qui en sont équipés...
1 commentaire:
la photo de l'olifant est celle du prototype du mk2
le mk2 opérationnel ressemble plutôt à ça: [url]http://img134.imageshack.us/img134/4484/olifantmk2.jpg[/url]
avec une tourelle redessinée sans le piège à éclats de la partie inférieure du masque
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