... quelles que soient les qualités de l'Armée rouge ou de la Résistance française, la réussite ou l'échec du Débarquement ne reposera en définitive que sur les seules épaules des aviateurs
A parité d'effectifs, les infanteries américaines, britanniques et canadiennes, leurs blindés et leurs canons, ne peuvent en effet espérer l'emporter contre l'infanterie allemande, ses Panzers et ses canons.
Seule l'Aviation sera en mesure de faire pencher la balance dans le camp Allié, en détruisant les fortifications, en appuyant la progression des troupes au sol, et en attaquant les renforts que les Allemands feront venir de toute l'Europe.
Heureusement pour les Alliés, leur aviation a depuis longtemps conquis la maîtrise du Ciel. Aussi, dès 1943, a-t-on entrepris de convertir la plus grande partie des escadrilles de chasse pure en escadrille de chasse-bombardement, dont l'essentiel des missions consiste désormais à attaquer, à la bombe ou à la roquette, les tanks, locomotives ou concentrations de troupes.
Au printemps 1944, les pilotes alliés, qui luttent à dix contre un, n'ont en vérité plus grand-chose à craindre de la Luftwaffe. Leur seule hantise, c'est la Flak, la défense anti-aérienne, et ses milliers de canons de 20 à 30mm, en affûts simples ou quadruples. Conscients de leur infériorité dans le domaine aérien, les Allemands n'ont évidemment cessé de multiplier ces armes, qui accompagnent les troupes dans tous leurs déplacements et peuvent ouvrir le feu à tout moment, alors qu'on survole une route paisible ou un bosquet on ne peut plus anodin
En 1944, plus de deux millions de soldats et de civils allemands sont ainsi liés directement ou indirectement à l'artillerie anti-aérienne, qui consomme trois millions d'obus par mois !
Mais il en faudrait plus pour changer le cours de la guerre. Et si les canons anti-aériens qui accompagnent les Panzers se révèlent souvent mortels pour les chasseurs-bombardiers alliés, les dits chasseurs-bombardiers sont bien plus mortels encore pour les Panzers, comme ils vont bientôt le démontrer.
A parité d'effectifs, les infanteries américaines, britanniques et canadiennes, leurs blindés et leurs canons, ne peuvent en effet espérer l'emporter contre l'infanterie allemande, ses Panzers et ses canons.
Seule l'Aviation sera en mesure de faire pencher la balance dans le camp Allié, en détruisant les fortifications, en appuyant la progression des troupes au sol, et en attaquant les renforts que les Allemands feront venir de toute l'Europe.
Heureusement pour les Alliés, leur aviation a depuis longtemps conquis la maîtrise du Ciel. Aussi, dès 1943, a-t-on entrepris de convertir la plus grande partie des escadrilles de chasse pure en escadrille de chasse-bombardement, dont l'essentiel des missions consiste désormais à attaquer, à la bombe ou à la roquette, les tanks, locomotives ou concentrations de troupes.
Au printemps 1944, les pilotes alliés, qui luttent à dix contre un, n'ont en vérité plus grand-chose à craindre de la Luftwaffe. Leur seule hantise, c'est la Flak, la défense anti-aérienne, et ses milliers de canons de 20 à 30mm, en affûts simples ou quadruples. Conscients de leur infériorité dans le domaine aérien, les Allemands n'ont évidemment cessé de multiplier ces armes, qui accompagnent les troupes dans tous leurs déplacements et peuvent ouvrir le feu à tout moment, alors qu'on survole une route paisible ou un bosquet on ne peut plus anodin
En 1944, plus de deux millions de soldats et de civils allemands sont ainsi liés directement ou indirectement à l'artillerie anti-aérienne, qui consomme trois millions d'obus par mois !
Mais il en faudrait plus pour changer le cours de la guerre. Et si les canons anti-aériens qui accompagnent les Panzers se révèlent souvent mortels pour les chasseurs-bombardiers alliés, les dits chasseurs-bombardiers sont bien plus mortels encore pour les Panzers, comme ils vont bientôt le démontrer.
1 commentaire:
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