Panzer III, dans les montagnes grecques |
... de fait, après seulement une semaine de combats, plus personne dans le camp allié n'entrevoit la moindre possibilité de renverser la situation !
Le 16 avril, le général Wilson rencontre d'ailleurs son homologue grec pour lui faire part de sa décision de retraiter jusqu’aux Thermopyles,... concédant ainsi plus de la moitié du territoire grec à l'ennemi.
Le 16 avril, le général Wilson rencontre d'ailleurs son homologue grec pour lui faire part de sa décision de retraiter jusqu’aux Thermopyles,... concédant ainsi plus de la moitié du territoire grec à l'ennemi.
Encore deux jours, et c'est le Premier ministre grec, Alexandros Korizis, qui se suicide, un geste de désespoir que la Propagande nationale, pour ne pas affoler la population, tente de faire passer pour une banale crise cardiaque !
Le 20 avril, Giorgos Tsolakoglou, qui commande les forces grecques en Albanie, n'a d’autre choix que d’offrir sa reddition au commandant de la Leibstandarte-SS Adolf Hitler, le déjà tristement célèbre Sepp Dietrich, une reddition qui exclut volontairement les Italiens,… que l'intéressé avait victorieusement combattu pendant des mois, et une reddition que refuse aussitôt Mussolini.
Et pour donner plus de poids à son refus, le Duce d'ordonner une attaque contre les soldats grecs qui viennent pourtant de se rendre aux Allemands, mais une attaque à ce point mal conçue et dirigée qu'elle ne débouche que sur une nouvelle débandade italienne !
Qu'importe, après en avoir personnellement appelé à Hitler, Mussolini finit par obtenir, trois jours plus tard, une nouvelle cérémonie de reddition, tenue cette fois en présence des Italiens !
On a les victoires qu’on peut...
Le 20 avril, Giorgos Tsolakoglou, qui commande les forces grecques en Albanie, n'a d’autre choix que d’offrir sa reddition au commandant de la Leibstandarte-SS Adolf Hitler, le déjà tristement célèbre Sepp Dietrich, une reddition qui exclut volontairement les Italiens,… que l'intéressé avait victorieusement combattu pendant des mois, et une reddition que refuse aussitôt Mussolini.
Et pour donner plus de poids à son refus, le Duce d'ordonner une attaque contre les soldats grecs qui viennent pourtant de se rendre aux Allemands, mais une attaque à ce point mal conçue et dirigée qu'elle ne débouche que sur une nouvelle débandade italienne !
Qu'importe, après en avoir personnellement appelé à Hitler, Mussolini finit par obtenir, trois jours plus tard, une nouvelle cérémonie de reddition, tenue cette fois en présence des Italiens !
On a les victoires qu’on peut...
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