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| Galatas : ultime espoir |
… 26 mai 1941
Entre Maleme et La Canée, il y a le village de Galatas, où les forces alliées, de retraite en retraite, ont érigé une nouvelle ligne défensive, que les troupes allemandes, une fois de plus aidées par des nuées de Stuka attaquent dès l’après midi du 25 mai.
Une fois encore, et avec l’énergie du désespoir, les hommes de la Creforce tentent de résister mais finissent, une fois encore, par être repoussés et contraints d’entamer une nouvelle retraite.
Le lendemain, la route de La Canée est largement ouverte, et Freyberg n’a plus d’autre choix que d’annoncer la mauvaise nouvelle, causant autant la commotion au Caire - où on continue de souligner que les effectifs de la Creforce demeurent largement supérieurs à ceux des Allemands, ce qui est vrai,… mathématiquement parlant - qu’à Londres, où Churchill continue pour sa part de prodiguer de vains encouragements à son vieil ami Freyberg.
Entre Maleme et La Canée, il y a le village de Galatas, où les forces alliées, de retraite en retraite, ont érigé une nouvelle ligne défensive, que les troupes allemandes, une fois de plus aidées par des nuées de Stuka attaquent dès l’après midi du 25 mai.
Une fois encore, et avec l’énergie du désespoir, les hommes de la Creforce tentent de résister mais finissent, une fois encore, par être repoussés et contraints d’entamer une nouvelle retraite.
Le lendemain, la route de La Canée est largement ouverte, et Freyberg n’a plus d’autre choix que d’annoncer la mauvaise nouvelle, causant autant la commotion au Caire - où on continue de souligner que les effectifs de la Creforce demeurent largement supérieurs à ceux des Allemands, ce qui est vrai,… mathématiquement parlant - qu’à Londres, où Churchill continue pour sa part de prodiguer de vains encouragements à son vieil ami Freyberg.
Et cette commotion est d'autant plus importante que ni Wavell ni Churchill n'avait jusque-là été informés de la véritable gravité de la situation, et pensaient au contraire que le problème de Maleme était sinon réglé, du moins sous contrôle !
Au Caire, et ne serait-ce que pour sauver les apparences, Wavell ordonne aussitôt à des bimoteurs Blenheim et Wellington de s'en aller bombarder la piste, mais c'est trop peu, trop tard, et totalement inefficace...
1 commentaire:
Bonjour!
Excellent blog, et on voit bien l'enchaînement des évènements...Pourquoi diable Freyberg n'avait il pas demandé de tels bombardements plus tôt...?
En plus il est frappant de voir qu'à ce stade de la guerre, les avions vraiment modernes et efficaces (Spitfires, beaufighters et Bombardiers Lancaster ) étaient jalousement conservés sur les îles britanniques et que les anglais en Grèce et en Egypte devaient"faire avec" des wellingtons et des blenheims largement dépassés (Roald Dahl parle de 7ou 8 blenheims pourris -littéralement clapped-out , vérolés- présents en Grèce lors de la bataille d'Athènes)
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