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| L'Invasion de l'Albanie : une victoire facile, mais une victoire quand même |
… depuis l’arrivée d’Hitler au Pouvoir, en janvier 1933, le Führer et le Duce sont engagés dans une lutte à finir pour décrocher la première place et le rôle de chef de file du fascisme européen triomphant.
Mais à ce jeu-là, Hitler, grâce à la puissance de son industrie et à la vigueur de sa natalité, est assuré de l’emporter et de cantonner ainsi son "ami" Mussolini au rôle ô combien ingrat du vassal qui, pour montrer qu’il existe encore, n’a d’autre choix que de se lancer dans des aventures militaires aussi hasardeuses que peu rémunératrices, et toujours menées en lisière de celles de son maître.
Le Führer ayant récolté un immense prestige en annexant l’Autriche, et en s’emparant de la Tchécoslovaquie sans que la France et l’Angleterre s’y opposent, le Duce n’a à présent plus d’autre choix que de tourner son regard vers l’Albanie voisine, où réside par ailleurs une importante communauté italophone
Durant l'entre-deux-guerres, les Royaumes italiens et albanais ont d’ailleurs tissé de nombreux liens politiques, économiques et même militaires, qui ont de facto transformé le second en quasi-protectorat du premier.
En avril 1939, les 100 000 soldats italiens qui envahissent l'Albanie n’ont donc guère de difficultés à bousculer la minuscule armée du Roi Zog, contraint de s’exiler en Grèce, puis en Grande-Bretagne…
Mais à ce jeu-là, Hitler, grâce à la puissance de son industrie et à la vigueur de sa natalité, est assuré de l’emporter et de cantonner ainsi son "ami" Mussolini au rôle ô combien ingrat du vassal qui, pour montrer qu’il existe encore, n’a d’autre choix que de se lancer dans des aventures militaires aussi hasardeuses que peu rémunératrices, et toujours menées en lisière de celles de son maître.
Le Führer ayant récolté un immense prestige en annexant l’Autriche, et en s’emparant de la Tchécoslovaquie sans que la France et l’Angleterre s’y opposent, le Duce n’a à présent plus d’autre choix que de tourner son regard vers l’Albanie voisine, où réside par ailleurs une importante communauté italophone
Durant l'entre-deux-guerres, les Royaumes italiens et albanais ont d’ailleurs tissé de nombreux liens politiques, économiques et même militaires, qui ont de facto transformé le second en quasi-protectorat du premier.
En avril 1939, les 100 000 soldats italiens qui envahissent l'Albanie n’ont donc guère de difficultés à bousculer la minuscule armée du Roi Zog, contraint de s’exiler en Grèce, puis en Grande-Bretagne…
1 commentaire:
Le style c'est l'homme...l'uniforme des bersagliers avec leurs panaches de plumes de coq faisait bien rigoler les Corses lors de l'invasion de 1941 -1942 ...après ils ont quelque peu déchanté mais ne sont pas restés occupés longtemps.
Curieux quand même , ce panache anachronique sur des cavaliers motorisés montés sur de pétaradantes Gilera ou Moto-Guzzi...mais les anglais ont eu aussi leurs anachronismes avec le chef des commandos de juin 44 , l'écossais lord Lovat qui s'était fait accompagner d'un cornemuseux jouant à pleins poumons de airs des Highlands.....la petite histoire prétend quye si le "musicien" en réchappa c'est parce que le sniper allemand qui le tenait dans son viseur pensait avoir affaire à un fou (c'estb ce qu'il aurait déclaré une fois fait prisonnier par les anglais)
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