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| Avenger britannique contraint à l'amerrissage : un parmi tant d'autres victimes du même sort... |
… parmi ces accidents, les plus courants (plus d'une quinzaine de cas) furent causés par des crashs à l'atterrissage, tantôt provoqués par un capotage (c-à-d par le classique "cheval-de-bois", auquel le Corsair, comme tous les avions à train classique, était fort sensible), ou par un atterrissage sur le ventre (dicté par une défaillance mécanique quelconque).
Les problèmes moteur venaient en seconde position. Mais si l'incendie, la perte d'huile ou la chute brutale de puissance ne furent finalement responsables que de la perte de deux Wildcat et de cinq Corsair de la -214, il convient cependant de mentionner le grand nombre de cas où des Corsair furent contraints d'interrompre leur vol et de revenir se poser prématurément suite à diverses défaillances de leur gros Pratt & Whitney R-2800, aussi puissant que difficile à entretenir sur le terrain.
La banale panne d'essence, causée par des réservoirs vides, une défaillance de la pompe d'alimentation ou une erreur de manipulation du pilote, fut quant à elle responsable de la perte de cinq appareils.
Enfin, loin derrière, on trouvait les crashs au décollage, les collisions en plein vol avec un autre appareil (et même avec un arbre !) ou encore, et pour l'anecdote, la rencontre inopinée avec un bombardier B-24 qui, le 1er janvier 1944, avait proprement aplati au roulage un Corsair, pourtant sagement stationné sur son parking !
Les problèmes moteur venaient en seconde position. Mais si l'incendie, la perte d'huile ou la chute brutale de puissance ne furent finalement responsables que de la perte de deux Wildcat et de cinq Corsair de la -214, il convient cependant de mentionner le grand nombre de cas où des Corsair furent contraints d'interrompre leur vol et de revenir se poser prématurément suite à diverses défaillances de leur gros Pratt & Whitney R-2800, aussi puissant que difficile à entretenir sur le terrain.
La banale panne d'essence, causée par des réservoirs vides, une défaillance de la pompe d'alimentation ou une erreur de manipulation du pilote, fut quant à elle responsable de la perte de cinq appareils.
Enfin, loin derrière, on trouvait les crashs au décollage, les collisions en plein vol avec un autre appareil (et même avec un arbre !) ou encore, et pour l'anecdote, la rencontre inopinée avec un bombardier B-24 qui, le 1er janvier 1944, avait proprement aplati au roulage un Corsair, pourtant sagement stationné sur son parking !
Ces déboires américains trouvèrent naturellement leurs équivalents chez les Britanniques, de surcroit confrontés - nous l'avons dit - au détestable penchant des Corsair à rebondir à l'appontage, ou encore à la non moins détestable habitude des Seafire à y briser leur train
En fait, à cette époque, et dans toutes les forces aériennes du monde, fort rares étaient les pilotes qui pouvaient se targuer de partir à retraite sans avoir jamais "cassé du bois" à une et même plusieurs reprises….
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