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| Firefly à l'appontage de l'Indefatigable. Notez les racks de roquettes vides sous chaque aile |
… 11h50
Un nombre au moins équivalant d’appareils ennemis ont certes été abattus, ou alors détruits au sol par les Corsair ramrods, tandis que la raffinerie de Soengei Gerong a également été touchée à plusieurs reprises, mais, à l'instar de celle de Pladjoe, sans pour autant être rendue inutilisable.
Le bilan est donc, à nouveau, fort mitigé… et d’autant plus que, cette fois-ci, la flotte britannique elle-même se retrouve peu après prise pour cible par une demi-douzaine de "Sally", c-à-d de bimoteurs Mitsubishi Ki-21, qui sont d’abord pris pour des avions-torpilleurs, mais qui semblent plutôt décidés à jouer les bombardiers et même… les avions-suicide !
Feu à volonté ! A 11h50, les 133mm du cuirassé King George V donnent de la voix, immédiatement suivis par tous les canons des DCA des porte-avions, des croiseurs et des destroyers de la flotte, mais aussi par les mitrailleuses et canons des chasseurs de couverture, et en particulier par ceux des Seafire de l’Indefatigable, qui y voient là l’occasion parfaite de se racheter de tous leurs déboires des jours précédents.
L’un après l’autre, et en à peine quatre minutes, les bimoteurs japonais sont tous effacés du ciel sans avoir réussi à causer le moindre dommage aux navires, mais sous les hourras des équipages de ceux-ci… qui apprendront hélas par la suite que, dans l’excitation générale, plusieurs obus du croiseur léger Euryalus se sont fracassés sur l’ilot et la passerelle de l’Illustrious, y faisant une douzaine de morts et une vingtaine de blessés !
Un friendly fire comme ils s’en produit dans toutes les armées et dans toutes les guerres, et qui, naturellement, ne sera jamais communiqué aux familles des victimes, lesquelles, dans quelques jours, recevront simplement une lettre officielle les avisant que leur fils, fiancé ou époux est mort héroïquement au combat, pour la défense de la Démocratie et la gloire de la Grande-Bretagne…
Un nombre au moins équivalant d’appareils ennemis ont certes été abattus, ou alors détruits au sol par les Corsair ramrods, tandis que la raffinerie de Soengei Gerong a également été touchée à plusieurs reprises, mais, à l'instar de celle de Pladjoe, sans pour autant être rendue inutilisable.
Le bilan est donc, à nouveau, fort mitigé… et d’autant plus que, cette fois-ci, la flotte britannique elle-même se retrouve peu après prise pour cible par une demi-douzaine de "Sally", c-à-d de bimoteurs Mitsubishi Ki-21, qui sont d’abord pris pour des avions-torpilleurs, mais qui semblent plutôt décidés à jouer les bombardiers et même… les avions-suicide !
Feu à volonté ! A 11h50, les 133mm du cuirassé King George V donnent de la voix, immédiatement suivis par tous les canons des DCA des porte-avions, des croiseurs et des destroyers de la flotte, mais aussi par les mitrailleuses et canons des chasseurs de couverture, et en particulier par ceux des Seafire de l’Indefatigable, qui y voient là l’occasion parfaite de se racheter de tous leurs déboires des jours précédents.
L’un après l’autre, et en à peine quatre minutes, les bimoteurs japonais sont tous effacés du ciel sans avoir réussi à causer le moindre dommage aux navires, mais sous les hourras des équipages de ceux-ci… qui apprendront hélas par la suite que, dans l’excitation générale, plusieurs obus du croiseur léger Euryalus se sont fracassés sur l’ilot et la passerelle de l’Illustrious, y faisant une douzaine de morts et une vingtaine de blessés !
Un friendly fire comme ils s’en produit dans toutes les armées et dans toutes les guerres, et qui, naturellement, ne sera jamais communiqué aux familles des victimes, lesquelles, dans quelques jours, recevront simplement une lettre officielle les avisant que leur fils, fiancé ou époux est mort héroïquement au combat, pour la défense de la Démocratie et la gloire de la Grande-Bretagne…
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